Dans la morosité économique toute légitime provoquée par la crise du Covid19, le Trésorier-payeur général du ministère des Finances Rony Hizkiyahou tente tout de même de trouver des points positifs à la situation que traverse le pays. Chiffres en main publiés mardi par le ministère des Finances pour 2019, il affirme que la solidité de l’économie israélienne telle qu’elle était au moment où le Covid19 est apparu permet au pays de s’en sortir bien mieux que de nombreux pays développés.
Parmi les points forts de l’économie israélienne : une croissance annuelle avoisinant les 4%, un taux de chômage très bas, un déficit budgétaire contenu et un ratio dette intérieure/PIB de 60% (100% il y a 20 ans).
Rony Hizkiyahou note également que l’augmentation constante des budgets alloués à la santé, année après année depuis dix ans, permet aujourd’hui d’avoir un système de santé solide et prêt à affronter la crise, même s’il a encore besoin de budgets supplémentaires. De même, les budgets alloués aux ministères sociaux ont augmentés de 70 milliards de shekels entre 2102 et 2019 pour atteindre 194 milliards bruts en 2019.
Autre donnée importante, Rony Hizkiya souligne que le classement élevé de l’économie israélienne dans les agences internationales de notation, permet aujourd’hui à Israël, malgré la crise, d’emprunter de manière facile sur les marchés internationaux et à des taux intéressants.
Une peu de rose sur les joues…
Photo Pixabay
La main du seigneur, n’en doutez pas !
“L’augmentation des budgets alloués à la santé” … démontre à quel point l’industrie pharmaceutique devient de plus en plus puissante avec un seul but augmenter encore son pouvoir.
Après les médias qui représentaient un second pouvoir non élu, en voici un nouveau émergent et pire que les autres. Avec des gouvernement corrompus dans le monde entier, qui financent avec nos impôts et cotisations cette industrie qui n’a pas la moindre éthique ou morale, il devient évident que cette industrie va favoriser les plus fidèles valets.
On glisse vraiment doucement mais sûrement vers une dictature “sanitaire”.
Shana Tova.
PS : quand on voit le nombre de famille dans la détresse, on peut mesurer le gouffre qui sépare ce type “d’optimise” de la réalité