Dans le discours qu’il a prononcé jeudi soir au Congrès d’Herzlia, l’ancien Premier ministre et ex ministre de la Défense Ehoud Barak, du parti travailliste, a dénoncé avec vigueur la politique de Netanyahou, appelant à ‘faire tomber le gouvernement par un mouvement de ‘protestation populaire’ et lors des prochaines élections législatives.
Des prises de position qui n’auront étonné personne. Il a notamment reproché au gouvernement actuel « son pessimisme, sa passivité, sa peur et sa paralysie au lieu de faire preuve d’assurance, de courage et de force de décision et d’action ».
Il a encore estimé que le gouvernement actuel ‘ne suivait pas les traces de Jabotinsky et de Begin’. Et de prétendre « qu’un groupe fanatique animé d’une ‘idéologie extrémiste’ avait pris le contrôle du Likoud et avait écarté de la direction du parti tous ceux qui accordaient de l’importance aux valeurs de la démocratie ».
Barak a encore indiqué que « les dirigeants du monde ne croyaient pas un mot de ce que disait Netanyahou et n’accordaient aucun crédit à ses affirmations lorsqu’il prétendait soutenir la création d’un Etat palestinien ».
Qu’il s’occupe plutôt de gérer ses actions en bourse et que il l’a promis qu’il ne se mêle plus jamais de politique