Rappelons les 6 premières raisons évoquées hier:
Les sondages n’ont aucune crédibilité, 2016 en est l’illustration ;
La prime au sortant (« incumbency advantage») ;
L’économie est au beau fixe ;
Un leadership affirmé sur la scène internationale ;
La médiocrité des candidats démocrates ;
L’absence de programme cohérent de la gauche ;
Et passons à présent à la deuxième partie de notre dossier.
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Deux candidatures dissidentes à gauche (Jill Stein et Howard Schultz)
Les écologistes vont à nouveau se lancer dans la bataille de l’élection présidentielle de 2020, comme ils le firent en 2016 (la primaire du Green Party est en cours). On soulignera qu’en 2016, Jill Stein, la candidate du Green Party – qui avait surpris les médias en déclarant qu’Hillary Clinton représentait un danger bien plus grave que Donald Trump en matière de politique internationale – a obtenu dans les Etats du Michigan, de Pennsylvanie et du Wisconsin plus de voix que la différence de voix séparant Donald Trump et Hillary Clinton dans ces Etats. En d’autres termes, en supposant que les deux tiers environ des électeurs de Jill Stein auraient voté pour Hillary Clinton si Jill Stein ne s’était pas présentée, Hillary Clinton aurait pu emporter l’élection de 2016…
Par ailleurs, au grand dam du parti démocrate, Howard Schultz, l’ancien fondateur et PDG de Starbucks – qui se proclame d’une gauche réaliste, par opposition au parti démocrate devenu trop dogmatique – a également annoncé en début d’année sa candidature à l’élection de 2020 en tant qu’indépendant. “Donald Trump va l’emporter en 2020 si les démocrates se tournent vers un socialisme extrême”, précise-t-il. Si le milliardaire ne cède pas aux pressions et se présente effectivement, et s’il réussit à attirer à lui ne serait-ce que 1 ou 2 % des électeurs de gauche ou du centre, son aventure risque tout simplement d’assurer la réélection de Donald Trump. Les démocrates ont bien senti le danger, ayant lancé une virulente campagne (non dénué de quelque antisémitisme selon des observateurs) à l’encontre de Howard Schultz, qu’ils qualifient de “meilleur espoir de Trump pour sa réélection”.
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La guerre des médias contre Donald Trump, et la fable de la collusion Trump / Russie
Les grands médias sont en train de perdre la guerre qu’ils ont eux-mêmes décidé de mener contre Donald Trump depuis 2016. L’accumulation d’émissions de pure propagande politique dirigées contre Trump finissent par leur coûter cher. Les parts d’audience s’effritent pour des médias comme CNN ou MSNBC, avec des reculs de parts de marché importantes, auxquels s’ajoute encore une chute brutale au lendemain du flop du rapport de Robert Mueller. Les auditeurs réalisent que des médias leur ont menti sur la collusion entre Trump et la Russie. Les plans sociaux de journalistes se succèdent au New York Times, à BuzzFeed, au Washington Post et à CNN. Fox News enregistre record sur record d’audience.
En parallèle, la révolution des réseaux sociaux fait des dégâts dans le monde établi de l’information, à commencer par le compte Twitter de Donald Trump, le plus suivi au monde. Les principales chaînes Youtube dirigées par des journalistes conservateurs ont plus d’audience que CNN, qui, avec ses 760.000 téléspectateurs quotidiens en prime time (sa plus faible audience depuis octobre 2015, comparée à près de 4 millions pour Fox), se classe en 15ème position derrière Food Network, History Channel, Home Garden TV et Nickelodeon (dessins animés).
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Anthony Lacoudre
Bon vent au Président Donald Trump !
La récession arrive.
Jill Stein avait été invitée et a participé à un dinner avec Poutine, ainsi que Marine Le Pen. Trump n’était pas en tête au départ dans les primaires de parti républicain et pourtant …il en a fini le premier… De même Fillon n’était pas en tête au départ des primaires de son parti. Et pourtant il en finit le premier. Lui aussi était un ami de Poutine.
Trump est la meilleure chose qui est arrivé pour israel et pour les etats unis et il sera reelu car les autres gauchistes
sont tous proarabes !!