La plus grande épreuve pour un grand champion comme Nadal, ce n’est pas de gagner une finale de tennis. Le plus difficile, à mon avis, après 12 victoires à Roland Garros, c’est le lendemain. Comment appréhender la nouvelle routine ? Comment reprendre l’entrainement en restant motivé, redémarrer de nouvelles compétitions, pour remonter, peu à peu, encore une fois jusqu’au plus haut de l’échelle ?
C’est un peu ce que l’on ressent après Shavouot. On a fini de compter 49 jours. On a vécu de grands moments, on a été comblés, on a étudié, prié, écouté attentivement les 10 Commandements. Et là, on doit reprendre un rythme presque routinier, sans remise de trophée en fin de journée.
Heureusement les infos sont là pour nous aider à reprendre très vite conscience du quotidien : le peuple élu va, une fois de plus réélire, malgré lui, une nouvelle Knesset.
Le plus étonnant, côté politique, ce sont les jeux de rôle, dans les deux grands partis. Bleu Blanc prévient : “Nous ne sommes pas de gauche ! Bibi vous a fait croire ça aux dernières élections. Nous tendons la main aux électeurs de droite.” La peinture est fraiche et c’est à coups de slogans détartrants que ‘’Le Club des 4’’ tente d’effacer cette étiquette fort gênante à leurs yeux. Ils vont crier à qui veut l’entendre, qu’ils sont pour la plupart du centre ou même, en cherchant bien, de droite, pragmatique bien sûr.
A droite, c’est l’inverse. Voici que les journalistes du camp national pointent du doigt Netanyahou. Ils mettent en doute ses positions et le bousculent sans pitié, l’accusant presque d’appartenir au camp du parti qu’il a voulu intégrer en dernières minute: Avoda. La chasse aux sorcières a commencé avec cette question qui trotte dans toutes les têtes: ”Mais qui est de droite” ? Et surtout, ”le maitre de tous les temps de la politique israélienne, voire internationale, le roi Bibi, est-il remplaçable?”
Le peuple est agacé de devoir supporter 100 jours de campagne et de batailles dans la boue. Même l’oncle Trump n’a pas dissimulé son mécontentement quant au “balagan” en Israël. S’il avait une lampe d’Aladin, il ferait sûrement le vœu de se retrouver le lendemain du 17 septembre, et de nous présenter enfin son plan du siècle, qu’Abou Mazen a déjà qualifié de “mort-né”. La dernière énigme du jour: Ayelet Shaked! Va-t-elle prendre la tête du camp sioniste religieux et rassembler, au-delà de tous les egos, une droite religieuse qui, unie, pourrait enfin créer une surprise à deux chiffres et une véritable alternative ?
L’Etat d’Israël est en éternel devenir, tout sauf un long fleuve tranquille. Cela reste un privilège incontestable pour nous de vivre sur cette terre, notre plus beau trophée.
Avraham Azoulay
Pour ma part j’espère que l’on ne verra plus avant longtemps Shaked, Bennett et Feiglin qui ont fait perdre des sièges à la droite.
Les partis Harédim ne sont pas de droite. Le parti Shass était dans le gouvernement Rabin et ne l’a pas fait tombé lui permettant ainsi de signer les accords d’Oslo. Quant à l’expulsion des Juifs du Goush Katif elle a été rendue possible car Shass et Yahadout Hathora n’ont pas démissionné contrairement à un certain Lieberman. Où est donc cet amour du peuple Juif ? Où est-il, lorsque le chef du gouvernement ordonne de ne pas faire de victime chez nos ennemis ?
Alors des partis qui aiment le peuple Juif et qui n’auront pas peur de le défendre je n’en vois que deux et ils sont de droite mais opposés pour l’instant.
Mais tant que le Likoud est sous le dicta de Bibi, ce parti non plus ne peut être de droite.
PS : Israël Beitenou et Baït Hayeoudi – Union de la droite sont les seuls partis qui peuvent être qualifiés de droite.
Nadal indépendammant de son talent qui le détache de tous ses adversaires sur terre battue est un grand tacticien qui a fondé une academie de tennis où les champions en devenir viennent puiser partie des ressources qui leur sont necessaires.
Durant le tournoi il a permis au Belge Gavin de lui prendre un jeu ce qui fut là aussi tactique car sa grande amitié pour le belge Gavin et la belge Justine Henin permirent ce luxe que seul un génie comme le sien peut s’offrir.
Aprés le second set remporté par l’autrichien Nadal sorti quelques brefs instants du cours et la fin du tournoi ne fut plus qu’une simple formalité.
En Israel nous avons la chance d’avoir en Bibi Netanayaou un génie dont l’action fait faire de grands pas à notre pays.
Le député Coasguen fait bien remarquer que les palestiniens ne furent que des observateurs,dont nous constatons tous que la seule chose qui interesse ce peuple,ce sont les enrichissements personnels,dont abou Maghzen est le digne successeur du milliardaire yasser Arafa et son hegérie.t.