La police israélienne fait face à une vague de démissions qui prend de l’ampleur et qui commence à inquiéter en plus haut lieu.
En effet, depuis le mois de janvier 2022, 400 policiers ont posé leur démission et les prévisions tablent sur 1000 policiers démissionnaires d’ici la fin de l’année civile. Pendant le seul mois de mai, ils sont 100 à avoir claqué la porte.
Des chiffres en constante augmentation puisqu’en 2021 on avait enregistré 600 démissions au sein de la police, ce qui était déjà le double par rapport à 2020.
En outre, le nombre de policiers qui décident de partir est bien supérieur à celui des recrues ce qui fait craindre un sérieux problème d’effectifs pour l’avenir.
Parmi les raisons qui poussent au départ, on trouve le salaire. Le site Ynet publie trois fiches de paie de policiers débutants. Aucun ne gagne plus de 6700 shekels nets par mois, pour un travail qui demande une disponibilité extrême avec des gardes de jour, de nuit, le shabbat et les fêtes, mais aussi dans des conditions difficiles. Ces jeunes avouent avoir voulu servir dans la police par idéal, mais la réalité économique est plus forte que tout, et ils ne parviennent pas à subvenir aux besoins de leurs familles. L’un d’entre eux s’apprête à démissionner.
Deuxième raison, la surcharge de travail pendant la période du Corona, qui n’a pas été reconnue à sa juste valeur venant s’ajouter au sentiment de plusieurs policiers de ne pas être suffisamment soutenus par leur hiérarchie mais aussi par la population.
Les policiers n’ont pas le droit de grève, ce qui complique leur combat pour de meilleures conditions de travail, ne disposant pas d’un levier dont profitent beaucoup de corps de métier.
La présidente de la commission de la Sécurité intérieure à la Knesset, Merav Ben Ari, a bien l’intention d’agir pour augmenter le salaire des policiers, comme le demande le commandant de la police, Kobi Shabtaï.
Mais ils se heurtent au ministère des Finances qui conditionnent les améliorations des conditions de travail des policiers, à des licenciements.
La semaine dernière, le ministre de la Sécurité intérieure, Omer Bar Lev, a reçu Kobi Shabtaï. Les deux hommes ont eu une discussion musclée. Le ministre a demandé au commandant de la police d’obéir à l’exigence des Finances, ce que ce dernier a catégoriquement refusé. ”Ecoutez-moi, Monsieur le ministre”, aurait dit Shabtaï, selon Makor Rishon, ”quand on veut, et qu’il y a de la bonne volonté, tout est possible”.
La position des Finances se serait assouplie suite à la farouche opposition de Shabtaï de licencier des dizaines de policiers. Cela suffira-t-il à stopper l’hémorragie?
Photo: Porte-parole Police
Lieberman ne souhaite pas augmenter les salaires dans differents secteurs dont la police, l’enseignement … pour lui, il faudrait travailler gratuit …quant a Bar Lev pour un ministre de gauche, il se fiche des conditions de vie des policiers
une gauche qui n a de gauche que son propre porte monnaie et une coalition qui n a de but que d effacer ISRAEL
un libermann qui se se prend pour poutine et qui n a d ideologie que la dictature un lapid qui dilapide tout sur son passage il a rase tous les partis meme si le sien n a pas bouge preuve qu il n a convaincu personne un saar qui crie vengeance et qui est mort etouffe d orgueil un benet qui a perdu tout honneur et credibilite des partis arabes qui qui vivent que grace a ISRAEL mais qui n ont de but que de couper la branche sur laquelle ils se pavanent .on se demande vraiment qui doit passer un examen psychiatrique le chateau est en cendre mais on clame TOUT VA BEAUCOUP MIEUX
Ces salaires sont une misère pour ces hommes et ces femmes qui risquent chaque jour leur vie pour la sécurité du pays.. Je vis en Suisse, et je suis toujours en train d’encourager les policiers, de prier pour eux dès que j’entends la sirène, pour leur protection, la mise à bien de leurs interventions, de la sagesse en celles-ci..etc.. Et je le ferai également, fin juillet en Israël, où je me rends à Jérusalem 15 jours.. Vous êtes bien heureux, de les voir arriver en cas de besoin,, Je pense que 10 000 shekels pour un travail de ce genre, ne serait pas exagéré, loin de là, et remotiverait peut-être à reprendre le chemin du travail.. J’aimerais vraiment que les policiers, si peu considérés, sachent que des gens les apprécient et les respectent. J’aime ce pays d’ Israël au plus haut point.. mais je ne comprends pas toujours les décisions qui s’y prennent.
POUR LES PARTIS ARABES 52 milliards de SHEKELS C EST NORMAL MAIS POUR LES POLICIERS ISRAÉLIENS UN SALAIRE NORMAL DEMANDÉ EST DE L INDÉCENCE.
LIEBERMAN DEVRAIT SE RETROUVER À PÔLE EMPLOI POUR APPRÉCIER .