Les taux de participation particulièrement bas dans le secteur arabe, constaté par tous les observateurs, est en train de créer la panique non seulement dans les QG des partis arabes mais aussi dans la gauche israélienne. Le parti Ra’am-Balad est particulièrement menacé de ne pas atteindre le seuil d’éligibilité, mais avec une telle défection, même le parti Ta’al-Hadash d’Ahmad Tibi et Ayman Oudeh n’est pas certain de passer le seuil.
Dans un tel scénario, le bloc de gauche pourrait être privé de 4 à 12 sièges. C’est la raison pour laquelle les responsables de campagne des partis arabes multiplient les appels à voter, même dans les mosquées. Mais ils ne sont pas les seuls. Tamar Sandberg, présidente de Meretz, s’est rendue dans la ville arabe de Kfar Qassem pour encourager les habitants à se rendre dans les bureaux de vote.
La présidente du parti d’extrême gauche ne cache pas qu’elle préfère voir Ayman Oudeh, Ahmad Tibi, Jamal Zahalka, Aïda Toumah-Suleiman ou encore Ofer Kassif sur les bancs de la Knesset que Betzalel Smotritch, Ayelet Shaked ou Itamar Ben-Gvir.
Photo Hadas Parush / Flash 90
Meretz l’ennemi de l’intérieur
Une poignée de main qui en dit long sur cette traitesse collaborationiste.
Elle devrait porter la burqua au moins.
Une poignée de main qui en dit long sur cette traitesse collaborationiste.
Elle devrait porter la burqua au moins.