Dans deux semaines, commence le Ramadan. Comme chaque année, lors de ce mois de jeûne chez les Musulmans, les forces du sécurité du pays sont en état d’alerte.
Les récents attentats survenus dans la vieille ville de Jérusalem on fait l’effet d’un signal d’alerte dans ce sens.
Mais c’est un autre point qui inquiète le ministre de la Sécurité intérieure, Omer Bar Lev (Avoda). Il craint que la montée de députés juifs sur le Mont du Temple pendant cette période n’attise les tensions.
Il a donc émis l’idée d’interdire tout simplement aux députés l’entrée sur le Har Habayit, et de demander à chaque député qui souhaiterait s’y rendre pendant le Ramadan de se soumettre à l’autorisation du chef de secteur et du chef de la police.

L’interdiction d’accéder à un lieu n’appartenant pas au domaine privé, n’est possible que lorsqu’il y a une menace réelle contre la sécurité de l’Etat
La conseillère juridique du gouvernement, Me Gali Baharav-Miyara, lui a fait savoir qu’il n’avait aucune autorité en la matière. Dans une lettre qu’elle a envoyée au ministre, elle l’a fermement recadré : »Les critères que vous évoquez dérogent aux critères que prévoit la loi ». Elle lui a rappelé que toute décision d’interdire l’accès au Mont relevait de l’avis du Premier ministre et du ministre de la Défense, après consultation du Shabak. Elle lui a signifié qu’en outre, d’après les services du Shabak, sa volonté d’empêcher la montée des députés sur le Mont du Temple, ne répondait à aucune menace sécuritaire. »L’interdiction d’accéder à un lieu n’appartenant pas au domaine privé, n’est possible que lorsqu’il y a une menace réelle contre la sécurité de l’Etat ».
Pour sa défense, le ministre Bar Lev a expliqué que sa proposition visait à protéger les députés qui pourraient être menacés dans leur intégrité physique de façon imprévisible.
Itamar Ben Gvir (Hatsionout Hadatit), qui monte régulièrement sur le Mont du Temple, s’est félicité de la position de la conseillère juridique du gouvernement : »Le ministre Bar Lev est un ministre peureux, qui se soumet au terrorisme, mais au-delà de cela, il agit sans mandat comme le dernier des dictateurs. Il doit démissionner ».
Itamar Ben Gvir a raison: le mont du temple est en Israel et à ce titre, n’importe quel israelien a le droit d’y monter et même d’y prier. A la force publique de maintenir l’ordre en ce lieu. Arrêtons de nous comporter en Dhimmis sur notre propre terre. Si nos « opposants » sont si forts, c’est parce que nous somme si faibles
Bar Lev n’est vraiment pas a sa place. Il passe son temps a denigrer les Juifs
Ces trois positions, pour des raisons différentes, sont éminemment respectables.
Quelles 3 posituons ? Seule celle de la conseillere juridique est acceptable avec celle de Ben Gvir naturellement
Esther….Vous n avez pas encore compris son jeu ? Il n arretera jamais …. jusqu a son dernier souffle. il defait faire ce qu’ il prône : SE TAIRE 🤐
Non, il a voulu dire que la position de Ben Gvir est respectable et les deux postures du cas « K » sont à ses propres yeux acceptables.
Les abrutis sont toujours parmi nous
Bienvenue au Club . Je me sentais si seul ! 🤣🤣
ESTHER, Je confirme, c’est très simple ! L’une rappelle la loi, l’un ne voit que de près ( comme Sharon) et l’autre voit plus loin.
On va finir par l’appeler Omar comme la mosquée !
Pourquoi pas ? Prospérité, c’est déjà fait et longévité me va très bien.
Ne parlez pas trop vite …. demain … vous ne saurez pas ce qui peut vous arriver !
Être à la fois peureux et dictateur, c’est un peu difficile…
Ces montées de députés sur le mont du temple n’ont rien de saint à mon humble avis.
C’est sur le dos de la police et de Tsahal qui doivent maîtriser des milliers de musulmans dans un état mystique cherchant peut-être même à se faire tuer que se passent ces visites.
Tout cela pour des députés qui cherchent à faire parler d’eux -que ce soit au prix de vies humaines.
A moins d’user de moyens non conventionnels – on ne peut neutraliser ces foules psychotiques.
C’est immoral de provoquer des situations qui dans ce contexte exigent pratiquement un combat corps à corps et sans vainqueur.