Les habitants d’Eviatar, les dirigeants politiques et rabbiniques de Samarie ont accepté le compromis final modifié proposé par les ministères de la Défense et de l’Intérieur. La cinquantaine de familles quittera les lieux d’ici la fin de la semaine, les maisons resteront en place et seront occupées par des soldats de Tsahal, mais contrairement à la première version, la yeshivat-hesder n’y sera installée que lorsque le statut final des terrains aura été régularisé. Ce n’est qu’après cela que les habitants pourront s’y installer définitivement. La raison de cette modification était que selon la loi on ne pouvait installer d’infrastructure civile avant que le statut des terrains n’aient été clarifié. Une méticulosité juridique qui tranche avec la promesse de régularisation massive de dizaines de milliers de constructions bédouines dans le Néguev.
Photo Sraya Diamant / Flash 90
Le coup d’arnaque de Gantz. – qui va laisser pourrir la situation. Et abandonner le terrain. Il a promis à bliken et Biden qu’il ne toucherait plus à Ia Judee Samarie …
j’espère de tout cœur que ces guiborim ne se font pas berner encore
cher amis si ce gouvernement tiens la route. nous aurons de tres grandes surprises de la part de ce traite Benette. encore plus de LAPIDE, sur l’état juifs et sur la terre d’Israël .avec un état pour les palestiniens .tout est programmé. c’est la raison pour laquelle LAPIDE voulait le poste de 1er M des affaires étrangères ,pour rencontré toutesles politiques étrangères pour préparer le terrain. même, joe Biden est pressé de rencontrer Benette afin,de conclure un marché. nous . sommes a la veille d’une catastrophe.
Ces personnes extraordinaires et admirables ont de plus prouvé qu’elles étaient raisonnables.
Ce compromis, comme tous les compromis n’est pas encore l’idéal mais il permet une grande avancée.
Bref, cette droite nationaliste sur le terrain réellement admirable je le répète encore est beaucoup plus réaliste que certaines personnes à la mémoire courte qui oublient trop vite le nombre d’implantations ou d’extensions de quartier démantelées manu militari ces dernières années.