Le quotidien le plus célèbre des Etats-Unis, celui qui “fait référence” en la matière et fut le porte-voix de Barack Obama, est aujourd’hui le triste visage de ce que la gauche qui se dit “progressiste” et “libérale” est devenue: le porte-parole d’une morale inversée et de valeurs universelles dévoyées.
La rédaction a publié une interview-portrait de Fadwa Barghouti, l’épouse de Marwan Barghouti qui purge une peine de prison à vie en Israël pour sa responsabilité dans la mort de dizaines d’Israéliens. Le titre choisi pour cet article était: “Fadwa Barghouti, la voix calme du combattant de la liberté Marwan Barghouti”.
On imagine aisément la réaction (justifiée!) aux Etats-Unis si un quotidien israélien avait qualifié Oussama Ben-Laden du même compliment!
Le New York Times est en fait récidiviste en la matière. Au mois d’avril, le quotidien avait publié un article sur l’archi-terroriste du Fatah au moment où il avait lancé la grève de la faim générale des terroristes détenus en Israël, et l’avait présenté comme “leader et parlementaire palestinien”. A la suite des nombreuses réactions, la direction du journal avait fait publier un rectificatif indiquant que la rédaction avait “omis” de mentionner que ce haut-responsable du Fatah avait aussi été condamné à plusieurs peines de réclusion à perpétuité pour sa responsabilité dans des attentats terroristes meurtriers. Petit détail…
Deux fois de suite pour le même individu, ce n’est plus un hasard ni une simple omission.
Photo Illustration
On n’espère qu’une chose , qu’il reste enfermé et continue , dans sa cellule , son combat de fou !!
je parie que c’est encore un “Juif” libéral, auteur de cet article… ces “juifs” entre deux chaises issus de mariage mixte codifiés ‘k-chair” par des rabbins des bois. Beurk
Surement que le New York Times ne veuille pas faire de la peine à ses soutiens financiers arabes.
Dans quelques temps , le New York Times proclamera que Daesh et Alkaide sont des “Combattants de la Liberté”.
Eh oui, sans le pognon arabe un journal n’est RIEN.
Idem pour les merdias français, bien sûr.