La chaine Kan 11 a publié un reportage qui amène à réfléchir sur les reproches souvent faits à la société orthodoxe, concernant l’étude des matières profanes et son insertion dans le monde du travail.
Au lendemain de la publication des résultats des examens de comptable, il est impossible de passer à côté de l’exploit: 96% des filles du séminaire Beth Yaakov de Har Nof ont été diplômées.
Rappelons que ces jeunes filles n’ont pas le bac puisque dans les écoles orthodoxes, les élèves ne sont pas présentées à cet examen.
A titre de comparaison et pour mettre en relief le taux de réussite du Beth Yaakov, notons que celui de l’université de Bar Ilan est de 67%, de l’université de Haïfa 60%, de l’université de Tel Aviv 54% et de l’université hébraïque de Jérusalem seulement 34%.
Ces résultats sont également une réponse aux détracteurs du séminaire qui prétendaient que si les filles avaient des bonnes notes pendant l’année c’était parce que les cours et les exigences n’étaient pas au niveau et qui leur prédisaient un échec assuré à l’examen national.
Les étudiantes témoignent au micro de Kan: ”C’est le résultat de beaucoup de travail et d’investissement. Nous venons en cours tous les jours, nous travaillons du matin au soir. Nous nous sommes fixées un objectif et nous avons tout fait pour l’atteindre. Mais c’est aussi beaucoup de prières. La veille de l’examen, nous avons été plusieurs à aller prier au Kotel et tout notre entourage a prié pour notre réussite”.
Elles espèrent que leur exemple servira à beaucoup d’autres femmes dans le monde orthodoxe à se lancer afin d’avoir un métier qui permette une bonne rémunération.
Pour Israël Tick, le directeur adjoint de l’institut de formation des professeurs Beth Yaakov, ”Ces résultats d’examen sont un bon exemple à donner pour montrer que contrairement à ce que l’on veut nous faire croire, la société orthodoxe n’est pas un poids mais une chance pour le pays. Beaucoup de personnes veulent travailler, veulent gagner leur pain et nous savons qu’aujourd’hui cela passe par réussir des diplômes”.
C’est normal, elles sont obligées de compter au quotidien ! Qu’elles élargissent leur domaine de compétence, pour elles et la société ! Gagnantes/Gagnantes !!!
Voila les smolanim ces affreux salhomes adorent se moquer critiquer balafrer ridiculiser les haredim mais quand la verite crache son venin sur eux ca les blesse tres fort et immediatement ils font semblant que ce n.est rien et que ca n.a aucun rapport avec ces gens la. Le probleme “le” pb c.est les nullards assis toute la jounee devant la guemara. Ben ouiais lapide et compagnie bande d.analphabetes c.est la~ la~ la source de vie d.Israel et de toute la terre.
Le problème avec les orthodoxes ce n’est pas les femmes orthodoxes qui doivent se taire dans toutes les langues, mais la gente masculine, qui n’étudient pas pour devenir utile à la société, à la famille et à eux-mêmes, ne défendent pas le pays dans lequel ils vivent et refusent de travailler. C’est vrai aussi qu’il y a des exceptions, mais cela devait être général et pas une exception seulement. Une hirondelle ne fait pas le printemps.
Le problème n’est pas les femmes orthodoxes, mais les hommes orthodoxes à qui les chefs orthodoxes interdisent l’étude profane, la défense du pays et le travail.
Lisez et relisez ma derniere phrase dans le precedente transcription
Calimero
Mes félicitations aux filles de la société de la société orthodoxe.Bravo aux filles de la société orthodoxe pour le taux de réussite que vous avez mené.