Les pourparlers de Genève, qui ont pour but de mettre un terme à la guerre qui sévit depuis cinq ans en Syrie, se sont ouverts officiellement ce lundi dans la ville suisse. Mais les écueils sont encore nombreux. Selon le chef de la délégation dépêchée par le président syrien Assad, Bachar al-Jafaari, ambassadeur de Syrie à l’Onu, aucune discussion sérieuse n’aurait débuté pour le moment et les participants n’en seraient qu’au tout premier stade de leurs négociations. Il a déjà émis des critiques sur les dirigeants de l’opposition syrienne qui participent aux débats, prétendant que ‘ce ne sont pas des politiciens’ et qu’il s’agit d’amateurs.