Lors de sa récente visite en Chine, le Premier ministre israélien a signé un accord avec le gouvernement chinois sur la venue en Israël de milliers de travailleurs chinois dans le domaine du bâtiment et de la construction. Mais la condition émise par Pékin a été qu’aucun travailleur chinois ne soit employé sur des chantiers de Judée-Samarie.
Le président du conseil local de Beit Arié (Samarie) Avi Naïm a réagi à cette clause en indiquant qu’avec tout le respect dû aux Chinois, ils sont les derniers à pouvoir donner des leçons dans ce domaine. Il faisait allusion à l’occupation brutale du Tibet par la Chine depuis des décennies. Il a cependant estimé que cette exigence chinoise était principalement due au souhait de Pékin de maintenir ses bonnes relations avec le monde arabe.
Toutefois, Avi Naïm a dit ne pas se formaliser de cette restriction, car cela permettra de continuer à employer des ouvriers arabes palestiniens et leur donner de quoi nourrir leurs familles, ce qui selon lui est aussi dans l’intérêt d’Israël.
“L’essentiel est que le gouvernement accorde des autorisations de construire en Judée-Samarie” a conclu Avi Naïm.
Photo Aroutz 7
ce n’est qu’une façade pour ne pas déplaire aux arabes ! mais qui viendra surveiller ces travailleurs chinois ???
et si j’ai bien compris , ce sont des travailleurs “palestiniens” qui travailleront en JUDEE SAMARIE …. ils ne se font pas lyncher par les leurs ??????