L’Etat a officiellement déposé une requête devant la Cour suprême, demandant un délai supplémentaire de sept mois concernant Amona. Dans sa requête, l’Etat explique qu’il y a des « aspects sensibles et complexes » qui justifient un moratoire concernant l’ordre de destruction du village fixé au 31 décembre 2016. L’Etat précise que des solutions alternatives sont en pourparlers afin de permettre une solution pacifique à cette question.
Photo David Vaaknin / POOL / Flash 90