Le combat des Femmes du Kotel, qui s’est une nouvelle fois illustré mercredi matin, est-il exclusivement de nature religieuse ou cache-t-il d’autres visées? On peut se poser la question lorsque l’on apprend, par l’intermédiraire de l’organisation Liba, que parmi les dirigeantes en pointe de ce mouvement se trouve Idit Lev, activiste gauchiste, pro-palestinienne et membre de l’ONG Rabbins pour les droits de l’homme. Cette organisation, sous couvert de défense des droits de l’homme (de l’homme ‘palestinien’ exclusivement) répand des mensonges sur Tsahal et a notamment collaboré au Rapport antisémite du juge Goldstone sur l’Opération Plomb Durci. Idit Lev a personnellement manifesté contre Tsahal lors de l’Opération anti-terroriste Tsouk Eitan.
On sait aussi que le président du mouvement juif réformé international, Rick Jacobs est également proche des milieux d’extrême gauche, notamment de Médecins pour les droits de l’homme et il est membre du conseil international du New Israel Fund. Ce qui veut tout dire.
Ces éléments indiquent que ce qui s’exprime à travers le phénomène des Femmes du Kotel n’est pas uniquement une revendication innocente dans le domaine de la libereté religieuse. Il s’agit d’un combat plus profond en coulisses concernant la nature juive et sioniste de l’Etat d’Israël. Le fait notamment que des députées du parti Meretz, foncièrement anti-religieux, soutiennent ce mouvement voire participent parfois à des prières (!) achève de parfaire l’image d’un mouvement aux buts politiques sous couvert de religion. Précision que ces députées Meretz se disent favorables au mouvement de Femmes du Kotel au nom de la liberté religieuse, mais farouchement opposées à cette même liberté religieuse – pour les juifs – dès qu’il s’agit de l’autre côté du mur…
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