Dans le cadre d’une exposition, un étudiant de l’académie des Arts “Betzalel” de Jérusalem a accroché parmi des oeuvres un dessin représentant le Premier ministre Binyamin Netanyahou à côté d’une corde de pendaison.
La ministre de la Culture et des Sports Miri Reguev a vivement réagi, rappelant que la liberté artistique ne signifie pas liberté d’inciter à la haine ou au meurtre. Elle a rappelé tous les propos et les actes d’incitations envers le Premier ministre – notamment la “statue” du Premier ministre récemment présentée et renversée sur la Place Rabin – et a déclaré avec raison que s’il s’était agi d’un leader de la gauche, tout ce camp politique serait déjà sur le pied de guerre. Elle a appelé son collègue de l’Education Naftali Benett à décréter une limite à la liberté artistique et menacer de sanctions budgétaires ceux qui ne s’y conformeront pas.
Itshak Herzog (Camp Sioniste) a condamné cette représentation, croyant cependant utile de rajouter “qu’il remplacera Binyamin Netanyahou par des moyens démocratiques et non par ce genre de procédés”. Itzik Schmouli (Camp Sioniste) a lui-aussi fermement condamné cet acte d’incitation. Par contre aucune réaction à Meretz alors que ses députés qualifient “d’incitation” chaque parole en provenance de la droite.
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l etudiante aurait du rester en prison et j espere qu elle va y retourner. les gauchistes sont detestables, ils insultent quand ils n ont plus d arguments.