Encore un cas de deux poids et deux mesures au détriment des juifs par rapport aux musulmans. A l’approche de la grande fête de fin d’année de la Faculté de droit de l’Université hébraïque de Jérusalem, un groupe d’étudiantes religieuses avaient demandé qu’une séparation (meh’itza) soit placée dans la salle afin qu’elles puissent danser entre femmes. Ne voulant pas trancher sur la question, la direction de l’université avait alors organisé un vote auprès des étudiants, qui avaient repoussé cette demande par 211 voix contre 176.
Mais cette fête de fin d’année tombe aussi le premier soir du ramadan. Cette fois-ci, l’Union des étudiants a bien voulu prendre en compte les demandes des étudiants musulmans, et après avoir présenté de plates excuses aux étudiants musulmans pour le choix de la date, l’Union des étudiants s’est engagée à trouver des solutions alternatives.
Il est à noter que le message d’excuses a été rapidement retiré de la page Facebook de l’Union des étudiants, mais pas assez vite pour ne pas qu’il soit découvert par le rav Haïm Navon, qui a vivement critiqué cette attitude discriminatoire envers les étudiantes juives: “Cette même Union des étudiants qui avait refusé une barrière de séparation de danses aux étudiantes juives a publié un message d’excuses empli de regret et de contrition aux étudiants musulmans”.
Photo Miriam Alster / Flash 90
On constate de plus en plus comme avec l’histoire du King David hier (le directeur de l’hôtel à demandé aux musiciens d’un orchestre dont il avait loue les services d’enlever ou de dissimuler Kippot et Tsitsitt parce qu’ils allaient se produire devant les employés de l’hôtel essentiellement Arabes) que la gangrène de la dhimmitude gagné dans toutes les secteurs de la société israélienne mais surtout au niveau des élites. Heureusement le bon peuple lui est sain et fier de son identité nationale et religieuse.