Selon le Daily Mail britannique, le chef de la police bruxelloise Robert Devillez a été sommé de rentrer chez lui le jour des attentats de Bruxelles, car il était arrivé en état d’ébriété à la réunion de crise qui a immédiatement suivi les attentats. Arrivé en retard à la réunion avec une bouteille de bière à la main, Robert Devillez a eu du mal à marcher et à s’exprimer au point que ses supérieurs stupéfaits ont préféré lui prendre son arme et le faire ramener chez lui non sans une certaine honte. Après lui avoir fait subir l’alcootest, il s’est avéré qu’il avait 0,8 mg/l d’alcool dans le sang alors que la limite autorisée est de 0,5 mg/l.
Encore des progrès à faire dans la lutte antiterroriste….
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