Beaucoup a été dit et écrit sur les cérémonies ‘alternatives’ de Yom Hazikaron qui réunit indifféremment familles israéliennes et ‘palestiniennes’, officiellement pour « dépasser les haines » et « promouvoir la paix ». De belles intentions qui sont pourtant battues en brèche par le contenu radicalement unilatéral et haineux de ces rencontres.
Comme toutes ces initiatives pacifistes d’origine exclusivement israélienne, ces manifestations sont autant d’occasions pour les uns comme pour les autres de se livrer à de virulentes attaques contre Israël et à une absolution totale du terrorisme et de l’éducation à la haine dans la sphère ‘palestinienne’.
Guy Lévy, membre du Likoud, a « accepté de souffrir pour les autres », selon ses propres termes, en se faisant violence pour assister à la cérémonie qui s’est tenue à Ganei Yehoshoua mardi soir dernier. Il a tout enregistré et analysé, et a conclu au constat implacable: presque 100% des propos qui ont été tenus, des chants ou poèmes qui ont été interprétés, étaient hostiles à Israël et à Tsahal.
Il a notamment comptabilisé les termes employés dans les différents discours sur les 70 minutes de cérémonie, ce qui donne une idée de l’ampleur de cette tromperie:
« Occupation »: 100 fois
« Armée d’occupation »: 50 fois
« Hamas »: 1 fois
« Terrorisme », « terroristes », « attentats »: 0 fois
Critique des violences ‘palestiniennes’: 0 fois.
Critique de l’éducation à la haine et à la violence: 0 fois
L’organisation de gauche « Combattants pour la Paix », qui est à l’intiative de ce genre de cérémonies est effectivement formée de combattants.
Contre leur propre pays.
Photo Illustration
70 דקות של טקס
100 פעמים כיבוש
50 פעמים, צבא הכיבוש
99.99% מהטקס ביקורת על ישראל
0 פעמים המילה טרור
0 פעמים המילה מחבלים
0 פעמים המילה פיגועים
1 פעמים המילה חמאס
0% ביקורת על הפלסטינים והאלימות מצידם
C est la Gauche qui n est pas juive tu tout et vit dans un pays qui n’est pas le sien et restent antijuif dans l’essence .
Consternant et a vomir. la 5 eme colonne
L’homme qui a popularisé le terme d’« antisémitisme ». Wilhelm Marr, un gauchiste radical allemand du XIXème siècle, n’a peut-être pas été le premier à utiliser ce mot, mais c’est lui qui l’a fait connaître d’une large audience, en l’approuvant : « L’antisémitisme est un mouvement socialiste, plus noble et plus pur encore dans sa forme que la sociale-démocratie » déclarait-il. Personne ne considérait de tels propos comme bizarres. Que nous ayons largement effacé ces faits de notre mémoire collective est très révélateur des préjugés politiques modernes.
La gauche rejette la religion. Elle s’est opposée longtemps au christianisme, elle ajoute maintenant le milieu juif au profit du monde musulman. Je ne parle pas ici des individus qui sont bien souvent sympathiques et généreux. J’ai le sentiment que la gauche n’objective pas l’une et l’autre religion de manière équivalente ; elle est pour l’islam, et le bruit des attentats et des têtes qui tombent ne la dérangent pas. A gauche, on persiste à désigner non tel ou tel verset du Coran et l’histoire du monde musulman qui a appelé ouvertement et régulièrement au crime, mais au contraire on criminalise, diabolise, condamne, et rejette les juifs, surtout, Israël. Je suis généralement un électeur de gauche mais je n’aboie certainement pas avec la meute !
Le philosophe gantois Maarten Boudry participe depuis assez longtemps au débat sur l’Islam. « Je me qualifie toujours de gauche » dit-il. « Mais je trouve que les voix de gauche se trompent souvent dans ce débat. Elles éprouvent une sympathie presque aveugle pour l’Islam, car elles considèrent les musulmans qu’elle perçoit comme étant une minorité opprimée et ancienne victime de crimes coloniaux. Même si c’est le cas, ce n’est pas une raison de ne pas dire la vérité. »
Des magazines fustigent le judaïsme pour sa cruauté et sa violence, et une pléiade d’intellectuels juifs ont disparu des débats publics, des radios, des télévisions, de la presse, comme par enchantement, sauf si de conviction de gauche et anti-juifs.
Après de biens sombres années, nous avons espéré et construit le sens de l’universalité, le sens de la fraternité de chaque être humain. Lorsque l’on rappelle cela, c’est au détriment des Juifs et du Sionisme, qui lui est assimilé.
Le sionisme est devenu le nom des pires choses au mépris de la vérité et de la réalité historique. La gauche revendique des valeurs humanistes, pourquoi est-elle sélective dans ses prises de positions ? La gauche porte bien un idéal, mais actuellement elle le trahit manifestement. Que sont devenues nos belles constructions humanistes; mépriser injustement une communauté au profit d’une autre ?
Toutes les actions d’un peuple peuvent-être sujet à la critique, mais pour ce qu’il est, non pour ce que l’on veut qu’il soit. Pourquoi est-il nécessaire de rappeler cela aujourd’hui au sujet d’Israël, ou des Juifs ?