L’ancien chef d’Etat-major adjoint Yaïr Golan a quitté l’uniforme il y a quelques jours après s’est vu privé du poste dont il rêvait, celui de devenir le 22e chef de Tsahal.
Sa candidature à cette fonction suprême avait provoqué de fortes oppositions à cause du très controversé discours qu’il avait prononcé le jour de Yom Hashoah 2016, dans lequel il avait joué les Cassandre en établissant en parallèle entre l’évolution de la société israélienne actuelle avec celle de l’Europe des années 1930 et plus particulièrement l’Allemagne. Une comparaison aussi fallacieuse qu’irresponsable qui fit beaucoup de bruit en Israël et fut évidemment largement relayée à l’étranger.
Dans sa première interview accordée depuis son retour à la civile, Yaïr Golan reconnaît que ce discours lui a sans doute barré la route au poste de chef d’Etat-major, mais il persiste et signe en disant qu’il ne regrette aucunement les propos qu’il a tenus. Il a tenté de justifier ses errements en disant qu’il n’avait pas voulu prononcer un discours standard et convenu sur la Shoah mais au contraire dire des paroles “significatives”. “Je vois des bourgeons, et il vaut mieux s’en occuper lorsqu’ils sont petits”, a récidivé l’ancien officier.
Ne cachant pas ses idées quant à ses préférences politiques pour ces élections, il s’est dit “choqué” par la manière dont Benny Gantz (dont il fut l’adjoint) est traité selon lui par ses opposants.
Vidéo:
Photo Hadas Parush / Flash 90
Ce Golan là, on peut le rendre aux Syriens
Bravo !
Pour quelle raison valable doit on donner le golan.
Je vote pour, mais j’ajoute qu’ils peuvent prendre aussi Ganz et sa clique de bon à rien.
CONTINUEZ AVEC bibi et bientot Israel….
se retrouvera …AUX MOYEN AGE . avec une nouvelle diaspora , les seculaires partirons , sans eux Israel ne survivra pas tres longtemps .