Le quotidien américain Washington Post a publié un article dans lequel il fait l’éloge de l’organisation pro-palestinienne Yesh Din. Sous le titre “La petite organisation qui a réussi à faire évacuer Amona”, le quotidien décrit l’expulsion des familles juives comme une “nette victoire”.
L’auteure de l’article, Ruth Eglash, a notamment interviewé des membres de Yesh Din ainsi que des habitants de Kfar Silwad. Ces derniers lui ont dit “Nous dépendions de D.ieu et de Yesh Din”.
La journaliste a souligné que sans le “combat obstiné” des militants de Yesh Din, ces familles n’auraient jamais pu être expulsées, mais que “la lutte n’est pas terminée” (sous-entendu dans d’autres endroits).
Michael Sferd, l’un des avocats de Yesh Din a eu le toupet de dire à la journaliste que “le cas d’Amona était facile sur le plan juridique”, alors que tout le monde sait que les requérants n’ont pas réussi à prouver leur propriété sur les terrains habités par les familles juives. Il lui a également dit que “Yesh Din n’a pas seulement affaire avec des familles juives qui empiètent sur la propriété d’autrui mais à l’Etat d’Israël qui les soutient et qui est puissant”.
Ruth Eglash est correspondante du Washington Post à Jérusalem et ses articles sont presque toujours hostiles à Israël et à sa politique.
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