Quelques mois à peine après les émeutes pogromistes arabes dans les villes mixtes et suite aux critiques dont elle fait l’objet, la police reconnaît que la répétition d’un tel scénario n’est qu’une question de temps et que les scènes seront encore plus violentes. Plus que cela, un haut gradé de la police avoue que son organisation n’est pas prête pour parer à de telles nouvelles émeutes.
Lors des trois premiers jours des émeutes du mois de mai, la police a mis beaucoup de temps à étendre son dispositif dans ces villes et à agir de manière efficace pour venir en aide aux habitants juifs. L’officier a notamment pointé du doigt le manque de budgets qui entraîne un déficit en ressources humaines nécessaires à de tels événements. Il a dit : “Les 72 premières heures sont critiques lors d’incidents de cette ampleur et une réaction plus rapide de la police aurait pu empêcher de nombreux dégâts, des blessés et des morts. C’était prévisible et la question est maintenant de savoir si les leçons en seront tirées afin d’éviter à l’avenir que des citoyens paient le prix”.
L’officier a souligné que le temps de réaction de la police est plus long que celui de l’armée, qui en cas d’urgence peut répondre rapidement par l’artillerie ou les airs. L’efficacité de la police dépend uniquement du déploiement des forces sur le terrain qui peut prendre plusieurs jours.
La police a demandé au ministre de la Sécurité intérieure Omer Bar-Lev de demander la création de 5000 nouveaux postes mais n’en a obtenu que 1000. “Ce n’est pas un chiffre que modifiera les règles du jeu”, regrette cet officier.
Photo Yossi Aloni / Flash 90
Il faudrait d abord un budjet pour nettoyer le corps de la police infiltré par les arabes surtout dans le nord.
De toute façon une guerre civile nous pend au nez.
Le combat entre civiles juif et arabe ne fait que commencer.
Si ça continue nous laissons un grave problème à notre descendance.
Dans le nord nous avons beaucoup d’Arabes dans l’armee, les garde frontieres et la police. Nous avons meme un responsable d’une unite de policr qui est arabe. Le probleme ne vient pas d’eux mais des habitants islamises fans certans coins de Galilee
C’est un problème existentiel pour la population juive et chrétienne israélienne.
Israel ne pourra jamais vivre en paix tant qu’il y aura un seul arabe musulman sur son territoire.
Refuser ou ignorer ceci c’est intensifier dans ce pays une guerre civile qui a d’ailleurs commence depuis plus de 30 ans et qui va très vite arriver au point de non retour ou la il faudra choisir: tuer ou être tuer.
Le rêve israélien est un cauchemar tel qu’il a été conçu depuis 1948.
Il ne peut exister d’apartheid pour ceux qui l’appliquent quand leur vie est remise en cause.
Ben Gourion s’est plante dans sa conception et nous payons a ce jour le prix de sa vision erronée.
A moins que je me trompe, on a jamais vu dans aucun pays au monde, une minorité étrangère, invitée, se livrer à des pogroms contre une population autochtone majoritaire, ça n’arrive qu’en Israël, vouais, aussi en eurabia et surtout en francarabia, mais là ils ont une excuse car les musulmans se chiffrent par des dizaines de millions. En ce qui concerne les policiers et surtout les gardes frontières dans le nord, je crois qu’on confond Druze pour arabe. Un ami d’enfance Pied-Noir qui habite Naharya, policier retraité, a une poignée de copains Druzes, dont un commandant des gardes frontières. Dans les communes mixtes, n’y a-t-il pas d’Israéliens qui ont effectué leur service dans Tsahal? A fortiori, en europe certains vantent le sport de combat Israélien GRAVMAGA et s’en inspirent. Les Israéliens, les vrais ne pratiquent t-ils pas cette discipline? Personnellement, les seules disciplines que je constate, je signale que j’habite Ashdod, sont les jets de toutes sortes de détritus le long des trottoirs, alors qu’il y a des poubelles de partout et aussi le comportement des automobilistes à l’arrêt qui ouvrent les portières inopinément coté rue, sans parler de ceux qui risquent l’accident pour vous passer devant et en fin de compte s’arrêter au feu un peu plus loin.