Personne ne devrait être étonné du fait que les Américains et les délégués des trois pays Européens aient exprimé leur « déception » après les premiers jours de négociations avec les Iraniens. Cette première partie qui a débuté lundi n’a permis aucun progrès. Chaque délégation est repartie vendredi dans son pays « pour consultations » auprès des gouvernements respectifs et les discussions devraient reprendre mardi.
Après cinq jours, Washington a fait part de « sa déception et son inquiétude », estimant que les Iraniens restent campés sur leurs positions maximalistes, exigeant la levée de toutes les sanctions comme ils l’avaient d’ailleurs annoncé depuis des semaines. Les négociateurs iraniens exigent aussi des garanties américaines qu’une future administration ne se retirera pas d’un accord éventuel, comme l’avait fait Donald Trump. Une demande que les Etats-Unis n’accepteront pas.
Jen Psaki, la porte-parole de la Maison-Blanche, a exprimé le sentiment qui prévaut à Washington : « Le nouveau gouvernement iranien n’est pas venu à Vienne avec des propositions constructives. L’approche de l’Iran cette semaine n’a pas été, malheureusement, de tenter de résoudre les problèmes en suspens. Plus important encore, l’Iran a entamé ce nouveau cycle de négociations avec un nouveau cycle de provocations nucléaires, comme l’a rapporté l’Agence internationale de l’énergie atomique, et ils n’ont toujours pas réussi à s’entendre avec l’AIEA pour rétablir la coopération et la transparence qu’ils ont détériorées ces derniers mois ».
De leur côté, les délégués des trois pays européens – France. Allemagne et Grande-Bretagne – accusent les Iraniens de jouer la montre et de poursuivre de manière accélérée leur programme nucléaire parallèlement aux pourparlers. Ils considèrent les demandes iraniennes comme « inacceptables ».
Les négociations se déroulent dans une configuration particulière car les représentants américains ne sont pas présents dans l’hôtel où se déroulent les pourparlers mais dans un autre hôtel, ce qui provoque des navettes de diplomates entre les deux établissements.
Le directeur du Mossad David Barnéa s’envole mardi pour Washington afin de fournir de nouvelles informations quant à l’avancée du programme nucléaire iranien, en espérant être entendu…
Le moment de vérité approche, et les pays occidentaux devront à un moment donné décider s’ils veulent en rester aux sempiternelles déclarations qui n’effraient plus personne, comme ils le font depuis des mois, ou s’ils vont enfin se décider à passer à un mode plus résolu et crédible face aux roublards iraniens avant qu’il ne soit trop tard.
Photo Geralt / Pixabay
La France va sûrement tenter de convaincre les 3 autres de céder de se mettre à table et d’accepter ce que les terroristes iraniens réclament. Nous sommes en plein dans l’esprit de Munich ….
les américains et les occidentaux se mettront a genoux. les iraniens sortiront vainqueur des négociations. ils ont tous besoins de faire du commerce avec les iraniens .ils voudront comme d’habitude sacrifier Israël. Israël sera seul pour ce combat car , D… est avec son peuple.
MACRON SENT L ODEUR DU DÉPART ET VA VOULOIR FAIRE N IMPORTE QUOI POUR LAISSER UNE TRACE DE SON PASSAGE DANS L ENCEINTE INTERNATIONALE DE VIENNE , ESPERONS QUE LES AUTRES EUROPÉENS ET LES USA SAURONT FAIRE FASSE À LA DANGEROSITÉ DES MOLLAHS IRANIENS EN ACCENTUANT LES PRESSIONS.
La naïveté des occidentaux et spécialement des américains me laisse sans voix… tous ces zozos ont perdu tout contact avec la réalité. Blinken a même été dire qu’il espérait bien un U-turn de la part des iraniens. Ce type est complètement à côté de ses pompes.
c’est un Juif democrate proche d’Obama … tout est dit