L’ancien président des États-Unis, Jimmy Carter, a écrit un article dans le New York Times intitulé «L’Amérique doit reconnaître la Palestine», un brûlot de haine qui montre que le poids des années n’a pas entamé la virulence de cet homme contre Israël.
L’article est publié le mardi 29 novembre, date anniversaire du vote original de l’Assemblée générale des Nations Unies qui a permis la création de l’État d’Israël. Il est bien mis en évidence par ce journal libéral, qui ne manque pas une occasion de mettre l’Etat juif à l’index.
Dans un geste cynique répété chaque année, l’ONU observe le 29 novembre la «Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien», transformant un anniversaire positif en prétexte à l’antisémitisme et à la stigmatisation d’Israël.
M. Carter appelle le président Barack Obama à reconnaître la «Palestine» avant qu’il ne quitte son poste le 20 janvier et à faire pression pour que la «Palestine» soit admise comme membre à part entière des Nations Unies…
L’ancien président a écrit que «la plupart» des Palestiniens dans les «territoires occupés vivent en grande partie sous régime militaire israélien». C’est un mensonge flagrant, car les quelque 1,7 million de Palestiniens de Gaza vivent sous la coupe de l’organisation terroriste Hamas, et presque tous les 2,7 millions de Palestiniens en Judée vivent sous le contrôle direct de l’Autorité palestinienne.
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