Le conseiller à la Sécurité nationale du président Donald Trump, Herbert McMaster, a beaucoup fait parler de lui il a quelques jours en limogeant d’un coup quatre hauts responsables du conseil, tous proches du conseiller du président Steve Bannon. Cette décision a fait du bruit car elle s’inscrit dans la lutte au sein de l’Administration Trump entre courants partisans d’une politique étrangère « indulgente et modérée », dont fait partie McMaster et celle d’une attitude plus ferme envers les régimes dangereux, prônée par Steve Bannon. Les quatre fonctionnaires limogés sont comme par hasard tous favorables à une politique très ferme envers l’Iran.
Les milieux conservateurs américains mais aussi des organisations juives se disent aujourd’hui inquiets de l’influence grandissante de Herbert McMaster, au vu de ses récentes décisions, de prises de position passées mais surtout de ses « fréquentations » telles qu’il ressort d’une investigation journalistique qui a été menée.
Le site de droite Breitbart révèle que de 2006 à février 2017 (année de sa nomination) Herbert McMaster a été membre et conseiller de l’International Institute for Strategic Studies (IISS) qui perçoit des généreuses sommes du milliardaire juif d’extrême gauche George Soros. Breitbart montre aussi que l’IISS a toujours tenté de dissimuler le rôle de McMaster dans cet institut. Certains fonds appartenant à Soros et qui versaient de l’argent à l’IISS s’étaient pleinement impliqués à l’époque pour « vendre » l’accord nucléaire avec l’Iran à la population américaine. C’est ainsi que Ben Rhodes, conseiller à la sécurité nationale sous Barack Obama avait avoué un jour au New York Times (après la signature de l’accord, bien entendu) que le Fonds Ploughshares, appartenant à Georges Soros et qui aide l’IISS, avait recruté des soi-disant « spécialistes » chargés de ‘briefer’ des journalistes en faveur de l’accord alors qu’ils ne connaissaient parfois ni les tenants ni les aboutissants de ce qui était en jeu.
Autre élément troublant, la journaliste Caroline Glick a écrit sur sa page Facebook que parmi les fonctionnaires nommés par Herbert McMaster en remplacement des autres se trouve par exemple Chris Bauman, considéré comme très anti-israélien et proche du Hamas. La journaliste israélo-américains affirme aussi que c’est ce même Herbert McMaster qui aurait dissuadé le président Trump de se faire accompagner par Binyamin Netanyahou lors de sa visite au Kotel. Le conseiller à la Sécurité nationale serait également opposé à l’utilisation de l’expression « terrorisme islamique », restant ainsi dans la ligne de l’Administration Obama.
Suite à ces nouvelles révélations, la puissante Zionist Organization of America (ZOA) a décidé de faire poursuivre les investigations sur les prises de positions d’Herbert McMaster et sur l’influence qu’il subirait de manière indirecte par George Soros, anti-israélien notoire.
Dans les milieux républicains, Herbert McMaster est vu de plus en plus comme un « élément étranger » voire un « traître » et certains exigent son départ de son poste stratégique de première importance, notamment sur fond de provocations répétées de la part de la Corée du Nord et de l’Iran.
A l’inverse, les médias de tendance démocrate se mobilisent en sa faveur, ce qui veut tout dire…
Photo Wikipedia
Toujours aussi désolants vos commentaires..si rudimentaires et si peu étayés…ce n’est que soupçons ….très amusant de vous lire qualifier Soros de juif d’extrême gauche…
Les vôtres paraissent autrement plus étayés! !! Bien sûr que les informations concernant G. SORROS sont bien souvent hypothétiques (un peu comme Vergès ) sinon on réduirait sa puissance à zéro , car on verrait immédiatement le but économique politique poursuivi. Dans votre cas -et ‘pour vous -également. ……
Je conseille fortement à Pierre, dit le lys, de lire et relire, tous les jours, Raymond Aron, qui, pour le résumer, écrivait :
« »Moi, je ne m’intéresse qu’aux faits » »
Et, concernant SORROS, se prenant le « ZORRO S » de la gauche, les faits sont têtus