On apprend aujourd’hui (dimanche) qu’Edouard Salalov, 57 ans, originaire de Nahariya est décédé des suites de ses blessures après avoir été touché par des débris de roquette sur la ville, il y a dix jours.
Il vivait à Nahariya depuis 1990. Il avait quatre enfants et était divorcé. Il était pêcheur et très connu dans la ville de Nahariya. Il y a deux ans, il avait sauté à l’eau pour sauver deux enfants qui étaient en train de se noyer. Ils ont eu la vie sauve grâce à lui.
Le 23 octobre dernier, il était sur la tayelet de Nahariya quand les sirènes ont retenti, il n’a pas eu le temps d’aller se mettre à l’abri et a été touché par des débris de missiles à la tête.
Que son souvenir soit béni.
Baroukh Dayan HaEmet
Jusqu’à quand Natanyahou va être à l écoute des américains ? Les attentats sont sur le sol Israëlien pas aux États-Unis…l AMÉRIQUE est confronté à voter la peste ou le choléra…voilà sin choix
Macri vous l avez dit au précédent Tweeter essayer de trouver quelque chose de plus sérieux à dire.
Bonjour Marie Esther
Chaque fois que je vois Nahariya sur un article… j’ai tout de suite le réflexe de chercher un de vos commentaires… (c’est pas de la curiosité… mais de l’amitié)… Je vois que ce monsieur (peut-être de vos connaissances…) avait eu un comportement héroïque… Que sa mémoire soit une bénédiction…
Shavoua tov… et surtout pas d’imprudence… Amitiés. Patrick
Oups correction : dans (et pas sur) un article…
Non je ne le connaissais pas. Mais personnellement je ne vais plus sur la tayelet car il n’y a pas toujours d’abri a proximite. Ce matin j’ai visite le miklat de ma makolet (je faisais mes courses quand l’alerte a retenti). Quand on voit ce que nos soldats decouvrent en ratissant le sud Liban au peril de lers vies, on ne peut qu’admirer nos heros et regretter l’insouciance des annees passees a se disputer pour une reforme judiciaire. Apres demain nous allons a Haifa et obliges de prendre l’axe Nahariya, Acre, les krayot et Haifa, trajet toujours vise par le Hezbollah. C’est la vie au nord
Merci de votre réponse… je vous comprends et je partage vos inquiétudes et votre avis… sur l’année qui a précédé le 7 octobre… et ne me fait aucune illusion… sur l’ambiance dès les lendemains de l’après-guerre… Toujours Amicalement… Patrick