Tous les médias français ont relaté le décès du rav Yossef Haïm Sitruk zatsal. La plupart des articles écrits par des journalistes non-juifs exprimaient leur difficulté à comprendre qu’un juif – à fortiori un rabbin – puisse à la fois être ouvert, chaleureux, moderniste et partisan de la laïcité tout en prônant un respect strict de la halakh’a et en proclamant tout haut la voix de la Torah même si elle est en décalage avec l’air du temps de la société actuelle. Cette incapacité à comprendre ce « paradoxe juif » s’est exprimé de manière odieuse dans l’article publié dans Le Monde par Henri Tincq. Jugez pas vous-mêmes:
« Mort le 25 septembre à 71 ans, il emporte avec lui nombre de mystères. Joseph Sitruk était un intellectuel juif, mais détesté par les intellectuels juifs. Charismatique, moderne, mais confondu avec l’orthodoxie la plus archaïque. Lecteur insatiable – raffolant du Talmud autant que des rues automobiles –, mais aussi homme de terrain et capitaine d’équipe. Attaché aux institutions laïques mais vitupéré pour son intégrisme. Prêchant le dialogue entre les religions, mais se frottant assez peu, sinon pour une rencontre à l’Elysée ou une cérémonie commémorative, à ses pairs catholiques, protestant ou musulman. Comme s’il était convaincu que le judaïsme devait être toujours plus intégré à la société française, mais cultiver aussi son isolement et sa supériorité de peuple élu« …
Henri Tincq est spécialiste des questions religieuses et notamment du Vatican.
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à vomir un tel article, une telle pure méchanceté, une hystérie à vouloir dénigrer, faire du mal pour le sadique plaisir de faire du mal
Ce propagandiste a des antécédents chargés.
http://dovkravi.blogspot.fr/2016/07/henri-tincq-un-journaliste-integre-par.html