« L »économie du pays devait se remettre sur pied, mais elle est encore plus enfoncée dans la récession qu’auparavant, le système bancaire est en faillite et les entreprises ferment à foison », a déclaré la présidente du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), Maryam Radjavi. Le CNRI est un organe d’opposition à la théocratie iranienne, dont le siège est en France.
L’opposition iranienne en exil n’est pas tendre avec le bilan de l’accord voulu et obtenu par B. Obama. En filigrane, le CNRI explique que l’argent libéré n’a servi qu’à accroître les objectifs belliqueux du régime, en détériorant la situation du pays et de sa population. Mme Radjavi s’exprimait à l’occasion du rassemblement annuel de son mouvement, organisé au Bourget, près de Paris. Un an après la signature de l’accord, « une grande partie des sanctions a été levée et les exportations de pétrole ont augmenté, mais l’argent a été englouti dans le brasier de la guerre en Syrie », a-t-elle déclaré.
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