Le ministère du Tourisme a publié des chiffres reflétant la situation du tourisme en Israël un an après le 7 octobre.
Depuis le début de la guerre, environ 853 000 touristes sont entrés, principalement en provenance (par ordre décroissant) des États-Unis, de France, du Royaume-Uni, de Russie et des Philippines.
La plupart des touristes en Israël au cours de l’année écoulée étaient juifs. Environ 44 % sont venus rendre visite à des amis et à des membres de leur famille, 28 % ont indiqué le tourisme classique comme motif de leur visite et 13 % sont venus pour affaires. 73 % des touristes avaient déjà visité Israël.
Le pays a subi une perte d’environ 18,7 milliards de shekels concernant le tourisme extérieur entrant et de 756 millions de shekels concernant le tourisme intérieur.
La guerre Glaives de fer a interrompu la dynamique de reprise de l’industrie touristique israélienne après la crise mondiale du COVID-19. Sur la base du rythme des arrivées de touristes jusqu’au déclenchement de la guerre, un nouveau record était attendu, dépassant le record de 2019 en matière de tourisme entrant d’environ 4,5 millions d’entrées. En 2023, seulement 3 millions d’entrées de touristes ont été enregistrées. Selon les taux d’entrée récents (80 000 à 100 000 touristes par mois), l’année 2024 devrait se terminer avec environ 1 million d’arrivées.
Le ministère du Tourisme gère également les populations du nord et du sud d’Israël.
À ce jour, 68 712 habitants ne sont pas encore rentrés chez eux, la plupart d’entre eux venant de communautés du Nord. Parmi les personnes évacuées, 53 113 sont hébergées dans des logements secondaires, tandis que 15 599 sont hébergées dans des hôtels.
Le coût de l’évacuation s’élève actuellement à 5,466 milliards de shekels, qui ont été transférés aux hôtels concernés, et 3,182 milliards de shekels supplémentaires qui ont été versés directement sous forme d’allocations de subsistance aux personnes évacuées qui ont choisi de vivre dans des logements secondaires/
L’implication du ministère du Tourisme dans la gestion de l’évacuation a permis à l’État d’économiser environ 5,173 milliards de shekels en éliminant les commissions des agents pour les placements dans les hôtels et en raison de la différence entre les tarifs hôteliers et les allocations de logement pour les personnes évacuées choisissant de séjourner dans d’autres options d’hébergement.
Dommage entre ELAL et les hôtels avec des tarifs prohibitifs le tourisme ne prendra pas facilement il faut que l état s en occupe sérieusement chana tova
Vu les prix pratiques outrageusement sur les hôtels et les vols aériens c est sur que les touristes à part la guerre ne risquent pas de nous envahir!El Al avait annoncé des baisses de tarifs sur Chypre vienne doubai la grece et finalement les tarifs L’arnica TLV sont à 630 euros…c est pas du vol ca???alors non !les touristes ne vont pas tevenir!
Baisse des prix de El Al et des hôtels égal à plus de touristes.
Peut-être que l État devrait se préoccuper de ee problème cet abus des sociétés aériennes s apparente à un abus de pouvoir !
La vie el Al a toujours été chère mais le service rendu était excellent à bord. Maintenant c est encore plus cher et le service est variable :parfois 1 repas acceptable, parfois un sandwich très épicé et même une fois sur 1 voyage rien du tout !! Vaudrait mieux que cela change….
La compagnie
Quand les compagnies aériennes reviendront en Israël, il faudra se souvenir d’El Al et la boycotter. En fait c’est le sentiment de tous les voyageurs qui sont obligés de payer des tarifs exorbitants à une compagnie qui ne paie même pas d’impôts en Israël.
TLV – Larnaka 685€ pour 40 mn de vol
Paris – New York 640€ pour 6h de vol.
Chercher l’erreur..