La vice-ministre des Affaires étrangères Tsipi Hotovely s’est est violemment pris et à juste titre à l’ancien ambassadeur Alon Liel, militant d’extrême gauche qui oeuvre contre l’Etat d’Israël à l’étranger.
La dernière forfaiture en date de ce membre d’honneur de B’Tselem et Ir Amim a été d’être enregistré en train de conseiller des militants de Sovrim Shetika (Breaking the Silence) et leur expliquer combien il est important que cette ONG se concentre sur la propagande anti-israélienne à l’étranger, notamment dans le cadre de l’ONU et de l’Union Européenne. Il leur a conseillé également de s’inspirer du boycott qui avait frappé l’Afrique du sud. Il s’est aussi vanté devant eux d’être derrière le lobbying qui tente actuellement d’empêcher la nomination de Dany Dayan au poste d’ambassadeur d’Israël au Brésil. Enfin. il leur a prodigué ses conseils afin de faire exclure Israël des prochains jeux olympiques!
Lorsqu’un militant de Shovrim Shetika lui a posé la question de la légitimité populaire de leur action, Alon Liel a eu cette réponse qui en dit long: « Vous avez une légitimité de deux pour cent. Mais quels deux pour cent? Ceux des individus les plus intelligents, des plus moraux, ceux qui sont capables de voir vingt ans en avant, pas comme celle des fanatisés par la propagande messianique de droite
Parmi les nombreuses actions de cet individu, on note la campagne qu’il a initiée et menée en Europe l’an passé avec des des dizaines d’intellectuels et d’anciens diplomates israéliens afin de convaincre les parlements et gouvernements de reconnaître l’Etat de « Palestine ».
Tsipi Hotovely note que « cet ancien diplomate et fonctionnaire de l’Etat a oublié ses obligations envers son pays et il se prévaut aujourd’hui de son passé et de son prestige pour parcourir le monde et devenir un collaborateur actif de ceux qui veulent porter atteinte à l’Etat d’Israël ».
Le 2 septembre 2014, Alon Liel publiait un article sur le site I24, dont le titre était « Fier d’être un traître ». Tout y est dit.
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