L’armée israélienne martèle que l’aide humanitaire entre en quantité dans la Bande de Gaza par le passage de Rafah et que cette aide va encore augmenter.
Lors d’un point pour la presse étrangère, le lieutenant-colonel Elad Goren, a précisé qu’il n’y avait pas de crise humanitaire à Gaza. La source des problèmes est le Hamas qui détourne les denrées et les médicaments pour ses hommes.
”Nous sommes au-dessus du minimum exigé par le droit international concernant l’aide humanitaire”, a expliqué Goren, ”Nous sommes constamment en relation avec les organisations d’aide internationale”. Il affirme qu’il y a de l’eau, de la nourriture, de l’électricité et du matériel médical dans la Bande de Gaza, en quantités suffisantes.
L’officier israélien a, par ailleurs, dévoilé aux correspondants étrangers que ”le Hamas décide quel matériel médical est destiné à ses terroristes et quel matériel part dans les hôpitaux, et quand”.
Il a rappelé que d’importantes quantités d’essence se trouvaient dans la Bande de Gaza mais qu’elles étaient aux mains du Hamas qui décide de leur utilisation.
Il a ajouté: ”Dès le début de la guerre, les hôpitaux ont affirmé qu’il ne leur restait du carburant que pour 24 heures. Nous avons dépassé les 30 jours de guerre et ils fonctionnent toujours. Pourquoi? Parce qu’ils disposent de suffisamment de ressources énergétiques alternatives. Ils ont des générateurs, des panneaux solaires qui leur permettent de fonctionner. En outre, il y a beaucoup de réserves de gazole dans la Bande de Gaza. Elles sont détenues par des particuliers, des organisations internationales et aussi par le Hamas qui en possèdent beaucoup. Il distribue le carburant en fonction de sa volonté. Le Hamas fait fonctionner les hôpitaux à la surface de la terre pour ses quartiers généraux sous terre”.
Concernant l’eau, le lieutenant-colonel Goren, a affirmé qu’Israël fournissait 28 millions de mètres cubes d’eau à la Bande de Gaza par un canal qui arrive au sud de la Bande de Gaza: ”Comprenez à quel point la situation est absurde”, a-t-il lancé aux journalistes étrangers, ”Ils tirent des roquettes et touchent des canalisations d’eau qui leur est destinée. Nous avons envoyé nos hommes sous le feu du Hamas oour réparer les tuyaux qui arrivent à Gaza”.
Goren a précisé que depuis le début de la guerre, 500 camions chargés d’aide humanitaire sont entrés dans la Bande de Gaza et qu’une zone dans le sud de la Bande de Gaza avait été sécurisée et était exclue de tout bombardement israélien.
De plus en plus de civils du nord de la Bande de Gaza fuient les zones de combat vers le sud. Ils témoignent du fait que les soldats israéliens les laissent se déplacer, tout en sécurisant les passages. En revanche, le Hamas fait tout pour les empêcher de se mettre à l’abri.
”Le Hamas veut vous faire croire qu’il y a une crise humanitaire à Gaza pour obtenir un cessez-le-feu. Mais cela n’arrivera pas. Israël va poursuivre ses opérations militaires tout en prenant soin de toucher le moins possible les populations civiles”, a conclu Goren avant de rappeler: ”N’oublions pas que des milliers de civils gazaouis ont pris part aux massacres du 7 octobre et pas uniquement des terroristes du Hamas”.
L’humanitaire, c’est d’extirper de Gaza, tout ce qui ne l’est pas !!!
Bien sûr que des milliers de civils gazaouis ont participé aux massacres; ils sont aussi coupables que le Hamas.
Dans 50 jours, dans 100 jours, dans 150 jours, ces flottes de journalistes nous diront encore que Gaza meure de soif et de faim : il faut arrêter les conneries, là mais les agences de presse occidentales dont l’AFP et la BBC, les ONG comme MSF, Amnesty International, Human Right Watch, etc prennent leurs infos auprès du Hamas.
Dans 200 jours, tout cela deviendra risible car la guerre va durer longtemps : il faut nettoyer Gaza.
Et dans 8 mois, le pic de naissances sera le même à Gaza, voir plus élevé, les gazaouis auront eu le temps de chevaucher leurs femmes ou de les violer; une sourate du Coran dit que la femme est la moitié d’un homme et une autre qu’un homme peut battre sa femme, alors le viol pour eux, c’est naturel.