L’attentat de ce soir à Tel Aviv lors duquel deux jeunes israéliens ont été assassinés est particulier à bien des égards.
D’abord, compte-tenu de la gravité des blessures infligées par un seul terroriste. Il a tiré 12 balles et a blessé 9 personnes, la majorité gravement. Lors des précédents attentats, les blessés n’étaient pas en majorité gravement atteints. Cette fois, les résultats sont dramatiques.
Ensuite, en général les terroristes sont rapidement arrêtés ou éliminés après avoir effectué leur crime. Dans le cas de ce soir, le terroriste est parvenu à s’enfuir et près de trois heures après l’attentat, les forces de sécurité n’ont toujours pas mis la main sur lui.
Ce sont plus de 1000 soldats d’élite et policiers de commandos qui ont été mobilisés pour cette mission urgente et des renforts pourraient être appelés.
Les habitants de Tel Aviv sont invités à s’enfermer chez eux, à ne surtout pas regarder par les fenêtres. Des centaines de personnes sont également bloquées à l’intérieur des théâtres, restaurants et autres lieux de divertissement, jusqu’à nouvel ordre.
En effet, la police estime que le terroriste ne s’est pas éloigné et qu’il a pris la fuite par une des petites rues autour de la rue Dizengoff où il a commis son crime.
Les forces de sécurité et de renseignements travaillent d’arrache-pied pour identifier le terroriste. Ils ont saisi toutes les caméras de surveillance à proximité du bar où s’est déroulé l’attentat. Des forces de Tsahal mènent aussi des opérations dans les villages arabes de Samarie. D’après les premiers éléments, le terroriste viendrait de la région de Toulkarem.
Le Premier ministre, les ministres de la Défense et de la Sécurité intérieure sont régulièrement informés par le chef de la police, le chef du Shabak et le chef d’Etat-major de l’évolution de la situation.
Dans les rues arabes de Gaza, de l’Autorité palestinienne et du Liban, on observe des scènes de joie.
La dernière fois que l’on a observé une situation à peu près semblable était en 2016, un attentat là aussi Rue Dizengoff à Tel Aviv. Le terroriste avait réussi à s’enfuir. Il n’avait été éliminé qu’une semaine plus tard lors de son arrestation dans sa maison dans le nord du pays. Les forces de sécurité l’avaient localisé grâce au père du terroriste qui l’avait dénoncé lorsque sa photo a été publiée.
Réjouissances en territoires palos! Comme toujours. Combien de travailleurs de Gaza viendront travailler en Israel, pour améliorer leur quotidien, combien de palos pourront venir à Jérusalem sur le Mont du Temple, pour apaiser la rue arabe?
Avec la caricature de ministre de l intérieur qu est bar lev,on est loin d etre tranquille!!
Le maintien de la population hostile à Israël en terre d’Israël, le droit de voter et d’entraver le droit du peuple juif à disposer de lui-même sans être doublé par ses traîtres, tout cela est un crime contre le peuple juif.
A chaque génération, on se dresse devant nous pour nous exterminer. Cette phrase, nous la dirons vendredi soir, la semaine prochaine.
Or, on détourne constamment notre attention du danger de la présente génération, et nous sommes obnubilés par nos dirigeants et médias pour avoir la tête toujours occupée par l’ennemi d’il y aura bientôt 80 ans.
La population arabe qui résident en terre d’Israël, avec la nationalité ou sans, font plus de victimes innocentes juives que les guerres avec les pays alentours, dont certains sont parvenus à une certaine normalisation avec Israël.
Par ailleurs, on endort notre vigilance : chaque fois qu’un musulman, arabe ou bédouin, tue des Juifs, il est totalement isolé de son contexte, du terreau qui l’a élevé : il agit au nom de telle ou telle mouvance, ou est commandité par elle. Ces affirmations médiatiques dédouanent et déresponsabilisent le contexte qui est la cause de cette insécurité. Il n’est plus représentatif de cette société de la haine des Juifs qui produit tous les jours un flot d’assassins sanguinaires.
Mais non seulement les tueurs n’impliquent en rien leur société, ils ne sont pas désignés dans les informations. Il suffit de voir les titres : les victimes meurent toutes seules d’attentats, il n’est jamais dit ou écrit par exemple : «Un Arabe a tiré à bout portant sur des Juifs non armés».
C’est ainsi que notre colère est inhibée, et que nous sommes dressés pour la résignation. Rabin le disait déjà : pourquoi s’insurger quand des Arabes assassinent des Juifs ? Il y a au moins autant de gens qui meurent dans les accidents de la route. Autrement dit : c’est une fatalité, et il est normal que le Juif serve de cible à l’ennemi de garde dont l’identité individuelle et collective varie selon la génération.
Je suís totalement d’accord avec vous.
Il est temps que nous cessions d’avaler toutes ces couleuvres.
Bien cordialement
DdeAM
Vous avez dit l’essentiel.
Marre du politiquement correct.
Il faut rapatrier les populations hostiles, les mettre hors d’Israël.
Et que l’on fasse comme Poutine que l’on se fiche pas mal de droit international lorsque notre population est en danger. Nous avons un avantage supplémentaire : nous sommes Juifs et nous nous comporterons toujours en être humain.
Shabbat Shalom.
Après chaque attentat, toujours les immuables commentaires désabusés et toujours comme une rengaine, les récurrentes et vaines accusations sur les uns ou sur les autres. Jusqu’au prochain…, qui surgira on ne sait pas quand ni où, mais dont on est sûr qu’il frappera encore et encore de manière inéluctable, comme si l’on devait s’y habituer par un fatalisme destructeur. Et pourtant, nous sommes en guerre depuis bientôt 75 ans et la loi de la guerre veut qu’il y est un vainqueur et un vaincu, à défaut un compromis. C’est l’un ou l’autre et pas le statu quo. Or, depuis 20 ans, nos dirigeants ont choisi la solution de l’esquive c’est à dire de la lâcheté, qui fait que ce sont les citoyens qui en paient le prix fort. Le pire, c’est que la population ne se révolte pas et n’exige pas de ses dirigeants, de s’atteler à la résolution du problème une bonne fois pour toutes. Non, cette population si prompte et si naïve à vouloir régler tous ses problèmes par des élections, qui n’aboutissent qu’à fracturer le pays chaque fois un peu plus, oublie qu’elle possède un réel pouvoir, celui de faire le ménage parmi ses dirigeants en indiquant aux vieux professionnels et rentiers de la politique, la porte de sortie….et qui plus est, à ceux ayant été condamnés par la justice et qui devraient être inéligibles à vie. Partant du principe, que l’on ne fait pas du neuf avec du vieux et qu’une nouvelle orientation ne se fait pas avec des anciens qui ont fait la preuve de leur incapacité en transformant en plus, la Knesset en cour des miracles, il faut imposer un changement du système électoral qui implique l’adoption d’une constitution avec possibilité de recourir à des référendums sur les sujets brûlants engageant l’avenir du pays. Ainsi, nous n’assisterions plus à des marchandages ragoûtants, où les élus se vendent au plus offrant, sans la moindre pudeur ni retenue ! A défaut, le pays court inéluctablement à sa perte…Je l’ai déjà dit et je me répète,si le peuple ne bouge pas dans 1000 ans et des centaines de milliers d’attentats plus tard, nos descendants, y seront encore, à moins qu’ils n’aient été préalablement éliminés. Shabbat Shalom.