Il n’y a pas que le secret bancaire en Suisse – ou ce qu’il en reste – il y a également le secret sur l’aide financière fournie par la Confédération helvétique à des organisations qui luttent contre Israël, notamment le BDS.
Au nom de la liberté de l’information, des citoyens suisses ainsi que l’organisation NGO Monitor ont déposé une demande auprès des autorités fédérales afin d’obtenir les rapports sur l’aide financière aux ONG étrangères. Mais le Département fédéral des Affaires étrangères (DFAE) a opposé un refus catégorique. Motif invoqué: “La divulgation d’un tel rapport risquerait de porter atteinte aux intérêts de la Suisse dans le domaine de ses relations internationales”.
Ces rapports sont pourtant censés être publiés une fois par an selon un accord conclu entre la Suisse et la société de consulting NIRAS concernant notamment les activités d’une ONG qui répond au nom de “Direction des droits de l’homme et du droit international”. Cette direction est e n fait une machine à sous basée à l’Université Bir-Zeit de Ramallah et qui arrose diverses organisations pro-palestiniennes arabes mais aussi juives qui encouragent notamment le boycott d’Israël. Elle fonctionne grâce à des fonds suisses, danois, néerlandais et suédois. Parmi les bénéficiaires israéliens, les classiques: B’Tselem, Shovrim Shetika et Yesh Din.
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