Parmi les premières lois adoptées par la Knesset le jour même de l’ouverture de la session parlementaire d’hiver, il y a eu celle du Cinéma israélien, présentée par la ministre de la Culture et des Sports Miri Regev et adoptée par 44 voix contre 32.
Cette loi prévoit notamment une augmentation de 20 millions de shekels annuels pour l’industrie cinématographique mais aussi et surtout des mesures qui assureront une meilleure représentativité de la population dans les organes de décisions de la corporation, notamment en provenance des zones de la périphérie et de secteurs de population sous-représentées jusqu’à présent. L’objectif affiché de la ministre depuis son entrée en fonction est de diversifier la production cinématographique israélienne et ne plus la laisser aux mains d’un cercle fermé et idéologiquement identifié. Ce qui lui a valu bien-sûr des réactions offusquées et souvent violentes.
Après l’adoption de la loi, la ministre, satisfaite. a déclaré: “Il s’agit d’une excellente nouvelle pour le cinéma israélien”. Sur son compte Twitter, elle a ensuite écrit: “J’ai promis et j’ai tenu parole. Certains font de l’hystérie sur cette loi (l’opposition) d’autres font l’Histoire. Fini, le club restreint et fermé. L’industrie du cinéma israélien s’exprimera désormais de manière plus pluraliste et représentera la variété de voix émanant de la population du pays, aussi bien les secteurs orthodoxe qu’Arabe israélien, car le cinéma est aussi un ambassadeur d’Israël à l’étranger. Désormais, je vais m’attaquer à la loi de ‘loyauté dans la culture”.
Dans les grandes lignes, la loi de loyauté dans la culture entend soumettre les aides de l’Etat aux productions culturelles à certaines conditions, notamment celles de ne pas salir Tsahal, ne pas soutenir le terrorisme, ne pas inciter à la violence ou ne pas remettre en question l’Etat juif et démocratique d’Israël. Miri Regev a souvent répété que la liberté d’expression doit être maintenue mais ne doit pas arriver à une situation absurde dans laquelle l’Etat d’Israël subventionnerait de ses propres deniers des productions qui s’attaquent à lui ou à Tsahal, et qui font un tort énorme à l’Etat d’Israël à l’étranger.
Cette loi du Cinéma a été adoptée alors que s’ouvrait au Cinéma City de Jérusalem les Journées du Cinéma israélien.
Photo Hadas Parush / Flash 90
enfin ! bravo . je suis olé hadasch je ne l’imaginais jamais qu’en israel des juifs soit anti juifs , une gauche juive aussi dégueulasse , rénégate , lâche , complice de ceux qui veulent nous éradiquer par différents moyens . scandalisé , écœuré , je vomis cette gauche traite a sa nation .