Si l’on en croit des “fuites” émanant de “haut”, le Premier ministre Binyamin Netanyahou pencherait désormais vers un processus de souveraineté en deux étapes, dont la première n’inclurait même pas la vallée du Jourdain. Selon le journaliste Ariel Kahana, d’Israël Hayom, le Premier ministre aurait confié cela récemment à plusieurs acteurs centraux dans ce dossier.
Selon ce nouveau scénario, Israël étendrait dans un premier temps la loi israélienne sur 10% de la Judée-Sasmarie (un tiers du territoire prévu par le plan Trump) et appellerait officiellement l’Autorité Palestinienne à revenir à la table des négociations en lui montrant que le temps joue contre elle. En cas de maintien du refus, après un certain laps de temps, Israël étendrait la loi sur les 20% restants.
Il est à noter que les 10% de la première étape, n’incluraient ni la vallée du Jourdain ni les localités qui jouxtent la “ligne verte”, car le Premier ministre estime que ces territoires feront de toute manière partie de l’Etat d’Israël dans tout accord de paix. Il préférerait pour l’instant inclure des territoires situés plus en profondeur en Judée-Samarie, dans le coeur historique d’Israël, afin de les exclure de toute négociations futures.
Binyamin Netanyahou voudrait voir si cette formule sera acceptée à Washington. Pour Ariel Kahana, cette nouvelle manière de procéder de Binyamin Netanyahou serait due aux facteurs suivants: la volonté de montrer qu’Israël est à l’écoute des réactions internationales et agit avec prudence et celle de correspondre aux souhaits de Washington quant à un ‘plan de paix global’ et non à d’actes unilatéraux. L’abandon dans un premier temps de l’option de la vallée du Jourdain vise aussi à calmer les réactions de la Jordanie qui inquiètent Washington mais il s’agit d’un mauvais calcul car les Jordaniens ne changeront pas d’avis même si le plan était découpé en dix étapes!
Ce changement de cap, s’il était confirmé, serait aussi dû à la volonté du Premier ministre d’emporter l’adhésion de Bleu-Blanc, exigée par les Américains, et dont la position jusqu’à présent oscille entre le silence, le flou et la réticence.
Enfin, cette formule permettrait aussi à Binyamin Netanyahou de se sortir une épine du pied, en reportant la question très sensible de l’acceptation d’un Etat ‘palestinien’ et de la fixation de ses frontières, tant face aux Américains que face à une partie de la droite et des habitants des localités juives qui s’opposent à ce plan pour cette raison.
Photo Yonatan Sindel / Flash 90
Il existe le Mur des Cons.
Nous, nous avons le Mur de la Reculade depuis notre Retour à la Maison…..
Il faut à tout prix inverser notre Démocratie vers une autre Culture , que celle d’aujourd’hui basée sur la Soumission…..
Après plus de 70 ans , rien n’à changer dans la façon de gouverner , si ce n’est les personnages sortis des mêmes moules…..
Barkohva : très bonne définition ” MUR de la RECULADE ” mais cela n’est pas nouveau …. le Partage de la PALESTINE ANTIQUE JUIVE ( il faut ajouter juive , les arabo-musulmans étaient encore dans les choux = pas nés ) a donné 75% aux arabes ( Jordanie) et 25% aux juifs (Israël) !!
Ce partage a été scellé par un TRAITE , seul valable, rendant Sa TERRE au PEUPLE d’ ISRAEL de la MER au JOURDAIN !!!
Depuis lors , vous n’avez jamais cessé d’en donner des petits bouts de TERRE sous la menace de l’ ONU , ce machin qui a remplacé la SDN , et cela continue par crainte de je ne sais qui , sauf celle de DIEU !!!!
Et un jour vous serez entièrement démuni , vos enfants islamisés vous dirons ” merci” .
Et je vous signale que la SDN avant de se faire remplacer a décréter qu’aucun article ne pourrait être défait par l’ ONU !!!
mais bon , l’ ISLAM aura peut-être le dernier mot , Non pas le dernier , l’avant dernier car c’est le DIEU D’ ISRAEL qui aura le dernier !!!