Le New Israel Fund (Keren Israel Ha-hadasha) s’est choisi un nouveau directeur-général en la personne de Micky Gitzin, conseiller municipal de Tel-Aviv sur la liste Meretz et ancien directeur-général du mouvement anti-religieux de gauche ‘Israël ‘Hofshit”. Il remplacera Rahel Liel, épouse de l’ancien ambassadeur gauchiste Alon Liel, qui quitte ce poste après huit années.
Le NIF est une organisation faîtière qui couvre de très nombreuses organisations et associations qui oeuvrent officiellement en faveur “de la démocratie, de la justice, de l’égalité et du pluralisme” dans la société israélienne. Mais dans la réalité, le NIF poursuit des objectifs très politiques, dont celui de lutter contre le caractère juif et démocratique de l’Etat et de soutenir de nombreuses organisations de gauche et pro-palestiniennes. Pour cela, il jouit d’un très important financement étranger, en toute connaissance de cause, et qu’il distribue à toutes les organisations qu’il couvre.
Parmi les organisations soutenues par le New Israel Fund: l’Union de défense du citoyen, Shovrim Shetika, B’Tselem, Yesh Din, Emek Shaveh et Ir Amim (toutes deux pour une partition de Jérusalem), Mah’som Watch, Adallah (Arabes israéliens opposés à l’Etat juif) etc.
Le New Israel Fund, sous son appellation innocente, est en fait l’un des Chevaux de Troie dans l’ingérence de la communauté internationale dans la politique israélienne ainsi que l’un des instruments de l’extrême gauche israélienne pour contourner le verdict démocratique des urnes.
Micky Gitzin va donc diriger le NIF, dont la présidente n’est autre que l’ancienne juge Talia Sasson, elle-aussi membre de Meretz et auteure du fameux rapport qui porte son nom qui avait déclaré illégauc tous les avants-postes en Judée-Samarie, rapport balayé quelques années plus tard par celui du juge Edmond Lévy z.l.
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