Le mal qui ronge le système judiciaire israélien vient une nouvelle fois de frapper : le Parquet vient d’annoncer la clôture du dossier dans une affaire qui concerne Muhamad Bacri, le réalisateur de l’infâme film de propagande antisémite « Jenine, Jenine ». Le cinéaste arabe israélien était déjà poursuivi depuis 20 ans par des réservistes de Tsahal, individuellement ou en groupe, qui ont tenté de le faire condamner et interdire la diffusion de son « documentaire » qui sur la base de témoignages fabriqués les accusait d’avoir commis un massacre lors de l’Opération Remparts à Jénine en 2001. Même l’Onu, si prompt à accuser Israël pour un oui ou un pour non avait reconnu qu’il n’y avait eu aucun massacre commis par Tsahal dans le nid terroriste du camp de « réfugiés » de Jenine.
Hormis l’accusation d’incitation à la haine, Muhamad Bacri avait été poursuivi pour intelligence avec l’ennemi, incitation à la violence terroriste et visite à pays ennemi.
Le dossier qui vient d’être clos par la Parquet concerne une visite effectuée par Bacri au Liban en 2017 où il avait notamment accordé une interview à un média du Hezbollah lors de laquelle il avait déclaré que la « normalisation avec l’ennemi sioniste est une trahison ». Un « l’ennemi sioniste » qui accorde cependant tous les droits et avantages à ce cinéaste.
La ministre de la Culture de l’époque, Miri Reguev, ainsi que l’organisation Betzalmo avaient demandé au conseiller juridique du gouvernement d’ouvrir une enquête contre Bacri, détenteur de la citoyenneté israélienne. La clôture de l’affaire est d’autant plus choquante lorsqu’on se rappelle que la femme psychologiquement instable qui s’est introduite en Syrie il y a quelques mois a écopé de huit mois de prison, un verdict considéré comme indulgent. Dans son attendu, le Parquet ose écrire que cette affaire « n’est pas d’importance publique » et que « ces deux cas ne sont pas comparables » !!
Le directeur-général de Betzalmo, Shaï Glick a vivement réagi en rappelant que lorsqu’un Juif est accusé pour un graffiti il est condamné pour racisme et incitation, mais lorsqu’un Arabe – en l’occurrence Mohamed Bacri – exprime ouvertement son soutien au terrorisme, le conseiller juridique considère que l’intérêt public n’est pas de mise et il clôt l’enquête.
Betzalmo a annoncé qu’il fera appel de cette décision.
Photo Flash 90
Quelle honte! Il faudrait lui enlever sa nationalité israélienne et bannir ce traître et l’envoyer chez ses amis du Hezbollah c’est la moindre des choses!
ce n’est plus Israël, c’est le pouvoir de l’obscurité, les forces du mal qui règne hélas!. bientôt, la lumière régnera .le mal disparaîtra a tout jamais.
Moi je ne blâme pas cet ordure de soit disant cinéaste. Mais les juges Israeliens qui n ont pas d âme juive,ce sont des traitres .Le pays s affaibli par leur fautes c est eux qu il faut mettre en prison et les dégager à coup de pieds au cul aller vivre avec leurs chères et adorés falestiriens qu ils défendent aux détriment des juifs.
C’est Nous le PEUPLE qui devons réagir fermement
contre cette (cours suprème) qui sont nos ennemis de
notre ETAT Souverain et les juger pour corruptions et
collabos avec l’ennemis. Mais qu’attend ont Nous pour
foutre ces renégats qui profitent de leurs positions ,
mettons les dehors et les juger pour trahisons . C’est
ce qu’ils méritent !…
Le conseiller juridique et cette cour ne méritent que les crachats
La meilleure réponse au parquet anti-juif et donc antisémite ainsi qu’au film est l’arrestation d’un terroriste a jenine avec la liquidation de 4 autres fils de chienes et terroristes.
Il est grand temps d’installer entre nous et Gaza une porte tourniquet et d’expulser les Bacri et compagnie avec un one way ticket.
Vivre en Israel est une chance dont la majorite des arabes dans le monde ne jouissent pas.
Les arabes israeliens peuvent en profiter a condition de se comporter d’une maniere loyale.
Sans cela Israel se doit de les expulser avec un pied au cul chez leurs freres tant aimes.
Arrêtez d’appeler les arabes des israéliens quand eux-memes refusent cette etiquette.
Appelez les arabo-musulmans apatrides et de surcroît terroristes fis et filles de chien et chiennes: voila leur veritable designation.