L’ONG israélienne de gauche « Médecins pour les droits de l’homme » a déposé des plaintes auprès de la police des polices concernant huit cas dans lesquels selon elle des terroristes ou des émeutiers blessés ont dû attendre avant de recevoir des soins par les secouristes ou infirmiers militaires!
Cette organisation a effectué un véritable travail de fourmi pour voir si Dieu préserve les terroristes blessés sont discriminés par rapport à leurs victimes juives au sol. Et le résultat est « éloquent »: figurez-vous que selon les calculs de cette ONG, des terroristes ont dû attendre jusqu’à 47 minutes avant que les secouristes n’interviennent ou n’aient l’autorisation d’intervenir!! L’ONG peésente un tableau précis avec « heure du rapport » (sans préciswer qu’il s’agit d’un attentat), heure d’arrivée des secours, temps d’attente pour les blessés (terroristes) et heure d’évacuation vers les hôpitaux!
L’intervention de Médecins pour les droits de l’homme accédait ainsi à la requête du Croissant rouge qui accuse l’armée ou la police israéliennes « d’empêcher les secouristes du Croissant rouge de se rendre auprès des Palestiniens blessés ». Que ces derniers aient auparavant tué, blessé ou tenté de le faire importe peu à ces humanistes de pacotille.
Pour l’avocat Muhmad Abou Arisha, membre de Médecins pour les droits de l’homme, « la politique israélienne envers les secouristes palestiniens est violente, raciste et porte atteinte à l’état de santé des blessés ». Il rappelle que « le secours aux blessés est un devoir élémentaire pour tout homme quel qu’il soit ».
Tsahal a réagi à ces informations en rappelant que la médecine militaire et les secouristes civils arrivent très rapidement sur les lieux et traitent tous les blessés dans les mêmes conditions en fonction de la gravité de leur état et de l’urgence. Le porte-parole de Tsahal souligne aussi la complexité des scènes d’attentat dans lesquelles il y a souvent un danger réel pour les secouristes, comme par exemple la présence de ceintures ou engins piégés.
Quant à la police, elle précise que les premiers à intervenir en tel cas sont les artificiers de la police afin de ne pas mettre en danger les secouristes, les soldats ou les civils qui sont sur place. Tout comme Tsahal, la police rappelle que certains retards éventuels ne sont aucunement dus à une volonté délibérée mais aux circonstances même d’une zone d’attentat.
Les Médecins pour les droits de l’homme ‘palestinien’ ne se sont pas posés la question essentielle et élémentaire: que se serait-il passé si ces terroristes étaient tout simplement restés chez eux au lieu d’assouvir leur haine des Juifs?
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