L’artiste mythique Rivka Michaeli, lauréate du Prix Israël, a interprété une nouvelle chanson qui n’est autre qu’un texte de haine envers le premier ministre Binyamin Netanyahou. Même si le texte n’est pas d’elle mais de Kobi Louria, la chanteuse octogénaire ne pourra pas se dédouaner du fait qu’elle fait acte de haine et d’incitation par la diffusion du clip dans lequel elle prête sa voix.
De manière insidieuse, les paroles apparemment optimistes semblent parler du jour tant attendu où le virus du Corona aura disparu. Mais les dessins du caricaturiste Amos Biderman du Haaretz qui accompagnent le clip ne laissent pas de place au doute : il s’agit bien du « virus Netanyahou » dont veut parler la chanteuse qui ne cache pas ses opinions très à gauche qui hélas aujourd’hui se font synonymes de haine gratuite, de division et d’incitation, qui sont pourtant le signe de Caïn attribué au Premier ministre et à la droite en général.
Même le titre est une allusion à Binyamin Netanyahou, « Bayom Shehou Yelekh », sachant que l’un des slogans-phares des manifestations contre le Premier ministre, que l’on voit sur les tee-shirts et pancartes est : « Lekh ! » (Va t’en !)
PAROLES : « Le jour où il s’en ira… »
Le jour où il s’en ira, nous ouvrirons une bouteille de champagne
Nous danserons dans les rues, d’ici jusqu’à Netanya
Ce jour-là sera mentionné dans les calendriers,
Et chaque année le drapeau flottera au vent,
On racontera l’histoire de génération en génération,
Comment nous sommes sortis de l’obscurité vers la liberté.
Il y aura un buffet gratuits., avec du salé et du sucré,
Fini les bêtises, les querelles et les disputes,
Nous serons une seule nation, le Maroc et le Pologne,
Droit et gauche, religieux et laïc, Sakhnin et Degania,
Nous serons frères et ôterons nos masques,
Et de ce jour nous ne nous verrons que dans des fêtes,
Le jour où le virus s’en ira ce sera la joie,
Nous ne réglerons plus de comptes et ferons des folies
A chaque coin on dira « Le’haïm », imaginez la scène !
Le jour où il s’en ira, nous fêterons jusqu’au ciel
Les tel-aviviens fêterons à Jérusalem
Et les hiérosolymitains fêteront à Tel-Aviv
Le jour de la victoire sur le virus
Le jour où il s’en ira, je vous le dis,
Débutera une nouvelle ère
Le film sera fini
Nous lèverons un verre et bénirons « qui nous à fait vivre »
« Qui nous a fait subsister », et « Béni soit qui nous en a débarrassés »,
Nous nous souviendrons de ce que nous avons subi,
Et nous en rirons,
Nous nous étreindrons et ne garderons plus de distance.
Le jour où il s’en ira, nous ouvrirons une bouteille de champagne
Nous danserons dans les rues, d’ici jusqu’à Netanya
Les jeunes et les adultes
Sur toutes les places et les ponts
Le jour où il s’en ira, nous fêterons jusqu’au ciel…
(…)
Vidéo :
Photo Tomer Neuberg / Flash 90
la vieillesse est vraiemnt un naufrage
Le problème pour elle et ses camarades de jeu, c’est que Netanyahou, même s’il le voulait, ne pourrait pas quitter le pouvoir, tant que les accusations, montées de toutes pièces contre lui et cela devient visible, ne sont pas annulées par la réalité qui s’imposera. Car que reste-t-il à une personne après sa mort, si ce n’est sa réputation. Et toute personne de bon sens ferait de même. En réalité, ce sont ceux qui veulent le chasser du pouvoir qui l’oblige à rester en lui ayant monté ou en soutenant les magouilles que l’on sait.
Une vraie ordure
argumentez au liieu d’insulter!
Dommage de perdre du temps , dans peu de temps toute cette gauche sera disparue , a par les guerres qu’elles amène ,la mauvaise fois , l’escroqueries ,elles font tous pour survivre nous le voyons bien dans les élections elle meurt les chiffres baisse , je suis content que tous ses gangsters n’ont pas pu accuser le premier ministre d’avoir créer le coronavirus , mais se n’ait sur qu’ils diront qu’il ne la pas importait ,qu’est qu’ils ont à perdre , nous on les appelles des Albert ( on hébreu mikré avoud )
Tous ces gauchos ne vivent qu’avec de la haine dans leur coeur du matin au soir.
Ils ne voient et ne pensent qu’au mal.
Le erevrav a toujours infiltré le peuple juif pour essayer de le détruire.
Bibi a toujours cherché le bien pour Israel, ils veulent le lincher sans procès.
Ils ne sont pas mieux que l assassin de Rabin Zal.
Qu’elle garde sa haine contre les ennemis de l’état d’Israël. Une haine envers Bibi inutile voire ridicule.
Votre critique est tirée par les cheveux. Vous cherchez une polémique là où il n’y en a pas. C’est une chanson contre la situation actuelle due au virus. Elle est anti-virus, et si vous assimilez le virus à Netanyahou, c’est vous qui êtes graves! Arrêtez de délirer! Rien dans les paroles n’est agressif contre Netanyahou. À la rigueur, dans les dessins, on voit Netanyahou avec les dirigeants des autres partis, mais même ces dessins ne sont représentatifs que de la situation politique de discorde actuelle, et plutôt objectifs.de toutes façons , ils ne sont pas de l’auteure de la chanson! Vous faites de l’anti-gauchisme primaire alors que la chanson prône l’union de tout le peuple d’Israël. C’est plutôt votre article qui est plein de haine gratuite. Dommage!