Dans certaines villes européennes, les festivités du Nouvel An ont été restreintes cette année de crainte d’un attentat terroriste. A Bruxelles, par exemple, le bourgmestre a préféré, par mesure de prudence, annuler le feu d’artifice traditionnel du Réveillon. A Paris, la même mesure a été prise mais les festivités sont maintenues sur les Champs Elysées sous haute sécurité. Plus de 100 000 policiers et gendarmes ont été mobilisés pour assurer la sécurité sur le territoire français.
A Gaza, autre son de cloche : le Hamas a interdit cette année les célébrations du réveillon dans les lieux publics. Le mouvement terroriste a expliqué qu’il les jugeait « incompatibles » avec les valeurs et les traditions de la religion musulmane.