Depuis plusieurs semaines, on observe une augmentation du nombre de contaminations au virus du Corona. Les autorités sanitaires ont détecté la présence de deux sous-variants de l’Omicron, BA4 et BA5, qui seraient donc en train de se propager.
L’heure n’est pas aux restrictions mais il est conseillé aux personnes les plus fragiles de renouer avec l’habitude de porter le masque dans les endroits fermés.
Le nombre de cas hospitalisés est, lui aussi, en hausse et l’hôpital Meïr de Kfar Saba a dû rouvrir son département Corona face à l’afflux de malades. On compte 22 patients gravement atteints dans cet hôpital dont 5 en réanimation.
D’après les données du ministère de la Santé, il y a 572 malades graves dans le pays dont 37 en réanimation, soit une augmentation de 72% en une semaine. Hier 4931 nouveaux cas ont été détectés dans le pays.
Dans ce contexte, le ministère de la Santé estime que l’on peut considérer qu’une nouvelle vague est bien là même si, comme dit plus haut, il n’est pas question d’imposer des restrictions au public.
Ces jours-ci, les autorités sanitaires discutent de l’autorisation éventuelle du vaccin contre le Corona pour les 0-5 ans, la dernière tranche d’âge à ne pas pouvoir en bénéficier jusqu’à maintenant après que la FDA, l’autorité américaine du médicament, a autorisé son utilisation pour les nourrissons.
Photo: Yossi Zamir Flash90
Vu l’état du fonctionnement de la justice dans le pays, on ne peut pas vraiment s’attendre à ce que les violations des droits de l’homme soient mises en avant et à ce que les responsables aient à rendre des comptes.
C’est avec cette propagande de la peur qu’une grande partie du public, y compris des personnes sensées, instruites et responsables, a été neutralisée et s’est laissé inoculer un produit au départ expérimental puis avéré comme dangereux.
Netanyahou s’est aligné sur les positions de l’Oms et d’autres autorités étrangères pour nous enfermer sans aucune justification sanitaire ou scientifique. Des traitements efficaces ont tout de suite été identifiés, comme l’ancienne quinine, tandis qu’un professeur israélien, Arber, mettait au point un médicament. Un peu partout dans le monde libre, y compris ici, les médecins qui ont soigné ont été poursuivis, révoqués par l’ordre, comme par exemple le docteur Ochs, français, au Luxembourg, qui a fait appel de la décision de le suspendre pour un an.
Si, pour des crimes manifestes, comme les accords d’Oslo, les importateurs de l’attentat suicide ont eu le prix Nobel de la Paix, alors on peut comprendre a fortiori que ceux qui ont fait d’Israël un vaste laboratoire ne soient pas inquiétés. Ceci n’est en rien une fausse information, c’est notamment la déclaration explicite de Bourla, multirécidiviste condamné à maintes reprises dans son pays pour charlatanisme.
Votre analyse est brillante.
Hélas, entre les médecins corrompus, les rabbanim qui ont donné (ou à qui on fait dire) un avis stupide basé sur les seules affirmations de groupes financiers uniquement intéressés par les dividendes et malheureusement une grande partie du peuple comme vous le faites remarquer, nous sommes tombés dans un piège dont nous aurons du mal à nous sortir sans dommage.
Dans le mal qu’est la guerre en Ukraine, il est clair que la monopolisation de l’actualité par ce fléau nous a quand même bien aidé à s’éloigner de cette peur inventée bien que certains restent encore convaincus que la technologie Pfizer a eu un effet bénéfique.
Ce que j’ai remarqué aussi, c’est que dire aux personnes (y compris instruites et intelligentes) où trouver des informations officielles qui démontraient l’absurdité de la position officielle n’avait pas le moindre effet. Le confort d’une croyance erronée est telle que la recherche de la vérité n’a plus le moindre intérêt.
Finalement, au moins sur ce sujet, nous sommes des rebelles…