Le déficit budgétaire de l’Etat d’Israël a été considérablement réduit depuis le début 2022.
Le ministre des Finances, Avigdor Liberman, l’annonçait déjà hier, le déficit budgétaire de l’Etat d’Israël s’élève à 0.6% du PIB, l’un des plus bas au monde.
Les recettes de l’Etat sont en excédent pour le quatrième mois consécutif et au mois d’avril 2022, cet excédent est de 8 milliards de shekels.
Les raisons de ces résultats sont à chercher dans la politique économique et financière menée par le gouvernement qui a réduit les aides économiques et augmenter les recettes en parallèle.
Hier Avigdor Liberman a déclaré: »C’est la première fois depuis la création de l’Etat que pendant plus de quatre mois d’affilée les recettes dépassent les dépenses. En 2019, avant la crise du Corona, nous étions dans une économie d’élections et notre déficit était celui d’un pays du Tiers-monde – 3.7%. Le déficit a augmenté dans des proportions importantes en raison des dizaines de milliards de shekels dépensées pour la lutte contre le Corona et les subventions et dédommagements accordés aux citoyens et aux entreprises. Nous avons désormais atteint un déficit de 0.6% ».
Rappelons que ce déficit s’élevait à 11.2% du PIB en avril 2021.
Entre le mois de janvier et celui d’avril 2022, les recettes de l’Etat se sont élevées à 156 milliards de shekels contre 122.6 milliards pendant la même période l’année dernière. Les recettes liées aux impôts directs ont augmenté de 26%, celles liées aux impôts indirects de 9%.
Ces recettes supérieures aux dépenses ont permis à l’Etat de réduire les taxes sur l’essence, ce qui s’est ressenti à la pompe pendant quelques semaines.
Des politiques et des associations sociales réclament que cet argent perçu en bénéfice par l’Etat soit reversé aux classes populaires. Le ministre des Finances n’est pas de cet avis: »Ceux qui pensent que nous allons assister à un phénomène de cannibalisme face au budget se trompent. Sous ma direction, je ne permettrai pas de dépenser cet argent de cette manière, il n’y aura pas de gestion économique démagogique ».
Au total, la valeur des importations totales en avril 2022 s’élevait à environ 8,2 milliards de dollars, soit une augmentation de 19,4 % par rapport à la valeur des importations en avril 2021. Notons que depuis 2020 cette valeur est en augmentation.
Helas dans le meme temps des familles et des enfants vivent dans la misère.S’il n’etait plusieurs associations caritatives, leur soutien neanmoins permet de pallier aux defaillances de l’etat.Il serait alors necessaire de correler les performances economiques de l état avec le resultat de ces associations dans leur combat contre la pauvrete en Israel.
Cette fois ce sont des chiffres….pas des discours !
En tout cas, le mafieux il doit rendre des comptes … ce n est pas ce que dit le controleur de l Etat !!!!!
A quoi ça sert d avoir la caisse pleine si le pays va mal.j ai plein d argent donc riche et ma famille crève de faim.ce porc se moque de nous.
Voir des juifs ne pas manger a leur faim doit lui rappeler les »bons moments » de l’Histoire 39/45. Si des psychologues pouvaient l’analyser alors nous saurons l’hideux personnage qu’est ce monsieur slave héritier d’une vieille et virulente tradition antisémite.