La loi votée aujourd’hui par la Knesset qui réduit le champ d’application de la clause de raisonnabilité a suscité une révolte sans précédent dans la rue mais aussi entrainé la grève du syndicat des médecins et de plusieurs grandes sociétés dans le pays.
Mais qu’est-ce que cette clause de raisonnabilité? Joel Burstin, avocat depuis de nombreuses années, explique le premier volet de la réforme judiciaire : la “Ilat hazvirout”. La coalition souhaite limiter la possibilité pour les juges de casser des lois ou des décisions administratives au motif qu’elles ne sont pas raisonnables. Pour les uns c’est une façon de limiter l’activisme judiciaire, pour les pour les autres une atteinte à la démocratie.
Pour Comprendre ce qui se Passe ,
Faut Écouter les explications de l’Avocat
« » » BURSTIN « » »
C’est juste un Sapeur Pompier qui essaie d’Eteindre le Feu de Pyromanes …
Faut plus laisser le Feu se Rallumer .
Merci pour l’info et le conseil.
En effet ce juriste sait de quoi il parle et est très convaincant. Dommage que les agités de la rue ne lisent ni n’écoutent ce genre de propos.
Ils sont hermétiques à toutes explications qui ne correspondent pas à leurs idées. Tels des zombies formatés pour une seule cause : faire tomber le gouvernement. Je crains que les jours à venir soient révélateurs de mes craintes. Je n’imagine pas que toute cette populace rentre sagement dans ses foyers. J’aimerais me tromper. !!!
Le premier vote est passé
C’est-à-dire que des gens, qui s’elisent entre eux, décident par leur seule sensibilité perceptive, que telle loi est raisonnable ou pas. Dans le second cas, elles annulent, purement et simplement, la loi…
Et quoi ? Il y a des critères de raisonabilité suivant qui et quoi ?
C’est effectivement un ‘Hidoush, (une nouveauté) dans la législation hébraïque, qui, il faut le rappeler, a servi de modèle pour la plupart des codes civil et/ou pénal de l’ occident. Si elles y regardaient de plus près, nous serions la risée des services législatifs des démocraties.
Mais je demeure soupçonneux sur le but (caché ?) d’une telle gabegie… Déjudaïser le peuple juif ? Ces Juges sont-ils fâchés avec le Seigneur ? Haine de soi ? Un peu de tout ?
Après avoir écouté Joël, on peut se demander « tout ça pour ça !? »
Et bien en fait, lorsque l’on sait que cette loi n’était qu’un prétexte à la gauche pour renverser le gouvernement, on comprend mieux que les manifestations ne sont pas contre la réforme, mais bel et bien contre Bibi et les religieux, qui ont été élus, rappelons-le, démocratiquement.
Ca tout le monde l avait compris et ca a ete dit haut et fort que c etait pour renverser le gouvernement et principalement Bibi.
Ce brave avocat nous fait le coup de celui qui sait d’avance ce qui va se passer après avoir abrogé cette loi scélérate et dictatoriale. Et bien, non, naturellement comme il dit, les Juges maudits pourront trouver autre chose pour imposer leur dictature. Oui, mais comme il n’y a pas de Constitution en Israël, dire qu’ils chercheront à trouver des Lois étrangères, est-ce que cela sera toléré en Israël ? L’erreur de David Ben Gourion était de ne pas avoir doté Israël d’une Constitution comme l’ont fait tous les autres pays du monde. Israël paye aujourd’hui cela. Il faut dire aussi que les quelques Rabbins orthodoxes de l’époque se sont opposés à la rédaction d’une Constitution bêtement et stupidement. L’erreur était aussi de créer une CS qui ne pouvait qu’être dictatoriale, car ces Juges dès le début ne juger pas d’après les Lois, mais d’après leur sensibilité politique qui penchait gravement vers les goys et contre les patriotes et la démocratie.
En fait cette « Clause de raisonabilité » n’est pas un terme juridique, puisque les juges peuvent annuler une loi ou une décision sans réel motif.
Il devenait urgent de la supprimer.
De toute façon, les juges continueront à faire leur travail à la condition qu’ils puissent fournir de réels et solides arguments.
Ce terme de « Clause de raisonnabilité » est trop floue pour qu’une décision juridique puisse être prise au sérieux.
Avec cette « Clause de raisonnabilité », les avocats étaient empêchés de faire leur travail, en opposant arguments contre arguments.
Les juges devront maintenant étayer leurs décisions, ce qui est la moindre des choses.