Une fois n’est pas coutume : le journaliste Guidon Lévy, de Haaretz sans doute la plus virulente plume de la gauche antisioniste, décoche pour une fois ses flèches…vers la gauche!
Guidon Lévy évoquait la démission du rédacteur en chef du New York Times, James Benett, suite aux virulentes critiques dont il a été l’objet à l’intérieur de son propre journal pour avoir permis la publication d’une tribune du sénateur républicain Tom Cotton, dans laquelle il invitait les autorités américaines à faire intervenir l’armée afin de ramener l’ordre dans le pays.
Guidon Lévy avoue ce que beaucoup savent depuis longtemps : “Même s’il s’est agi en l’occurrence d’un article détestable, il serait inadmissible de ne pas publier un article parce qu’on ne serait pas d’accord avec le message qu’il contient. Certes, il y a une limite à ce que l’on peut publier, comme par exemple un appel au génocide. Mais je suis obligé de le reconnaître: il y a y a dans le camp dit libéral (gauche) un dogmatisme et un refus d’entendre des opinions différentes. Je l’ai moi-même vécu avec les réactions de ce camp lorsque j’ai un jour osé dire du bien de Binyamin Netanyahou”.
Si Guidon Lévy le dit…
Photo Flash 90
Les orthodoxes savent qu’il existe des ultraorthodoxes et maintenant cet islamo-gauchiste se rend compte qu’il y a des ultra-islamo-gauchiste.
Mes frères, prions tous ensemble pour que Dieu circoncise le cœur de tous ces Juifs gôchistes et laïcs afin que le peuple juif ne souffre pas comme il a tant souffert depuis deux mille ans
En résumé, les journalistes sont libres d’écrire ce qu’ils pensent mais la direction du média est libre de licencier qui pense mal.
Il faut fermer ce torchon,et juger ce salopard !