Une scène scandaleuse s’est déroulée réecemment en vieille ville de Safed sans que cela ne provoque de remous dans les médias. Les passants sur la place Avraham Sadeh se sont trouvés face à un groupe d’Arabes israéliens en uniforme noir dansant une “debka” au son de la musique devant un public apparemment conquis. Jusque-là rien de repréhensible.
Sauf que cette représentation était à l’initiative d’une organisation arabe israélienne appelée “Falestiniat”, créée en 2014, et qui a pour objectif de renforcer le narratif de la naqba dans la population arabe israélienne. Elle est en étroite relation avec l’Autorité Palestinienne et les partis arabes à la Knesset.
Et parmi les activités de cette association, des chants et danses en souvenir de “shahids” qui ont tué des Juifs depuis un siècle. Ainsi, les danses exécutées sur la place Avraham Sadeh faisaient partie d’un circuit dans la ville, lors duquel les militants et “guides” de cette organisation expliquent aux participants qu’il s’agit d’une ville arabe depuis toujours. L’une des stations du groupe fut la maison où habitait jadis celui qu’ils appellent le “shahid Fouad Hejazi”. Ce dernier fut l’un des rares participants aux massacres de Juifs durants les événements tragiques de 1929 à avoir été jugé et exécuté par les Britanniques. Il fait partie du martytologue de l’Autorité Palestinienne.
Après le déclenchement des émeutes antijuives par les mufti de Jérusalem Hadj Amin Al-Husseini, Fouad Hejazi participa aux progoms à Safed et assassina lui-même quelques Juifs, notamment un père et une mère sous les yeux de leurs enfants.
De quoi mériter quelques chants et danses sur une place de Safed 90 ans plus tard…
Photo David Cohen / Flash 90
Trop de laxisme envers les arabes israéliens !!! ces gens ne doivent pas être israéliens mais des résidents arabes permanents !!!!
Direct Syrie ou Gaza