Alors que le virus de la variole du singe a été signalé chez plusieurs personnes en Europe ces dernières semaines, un premier cas a été confirmé en Israël aujourd’hui (samedi).
Un homme d’une trentaine d’années qui revenait d’Europe s’est présenté aux urgences hier (vendredi) avec des symptômes. Après analyses, il s’est avéré qu’il avait bien été contaminé par la variole du singe.
Cette maladie se caractérise par une poussée de fièvre puis une éruption cutanée purulente qui ressemble à la varicelle. Dans la plupart des cas, ces symptômes disparaissent au bout de quelques semaines mais il arrive que la maladie soit mortelle.
D’après les premiers éléments d’étude en provenance du Royaume-Uni où plusieurs cas ont été détectés, les personnes atteintes sont principalement des hommes homosexuels ou bisexuels. C’est également ce qu’ont rapporté le Portugal et l’Espagne.
La multiplication des cas dans le monde amène les services de santé à se préoccuper du sujet bien qu’ils estiment que le virus ne devrait pas se propager à grande échelle. En Israël, le ministère de la Santé va tenir une réunion d’urgence.
ouf on l’ a échappé belle , ce virus est présent dans tous les pays occidentaux les plus médiatisés et covidés MAIS ou il n y a pas de singes!
transmission homo…mais c est un autre tabou ;
Gates prévoyait déjà un vaccin .. et d’autres industriels sont très excités :
quel pactole en vue !!
Et bien sur ..surfer sur la peur pour déclencher des solutions médicales parrainées par L OMS et Big Pharma
Alors informons nous calmement et arrêtons de suite cette panique des masses après l ‘expérience du COVID , avec lequel ce virus n’ a rien a voir.
Bien sur il donne déjà des signes cliniques bien visibles , mais la transmission ,la contagiosité sont totalement différentes.
Quant a la propagation médiatique de la peur …c est répétons le, le vrai danger .
Mort de rire.
Les études s’accumulent sur l’inefficacité de la technologie Pfizer et sur sa dangerosité, et évidemment sur du concret, par exemple en comparant 2020 (sans injection) et 2021 (avec injections massives). La publicité pour l’injection des moins de six ans ne fait pas recette.
Bref, il faut renouveler la peur et tenter une nouvelle injection ?
Mais nos chers moutons sont-ils prêts à gober cette nouvelle farce sanitaire ? Pas si sûr.