A l’appel des organisations terroristes et des prêcheurs dans les mosquées, les violences sauvages arabes se sont poursuivies durant la journée de samedi en divers endroits de Jérusalem Vendredi, des milliers de musulmans avaient provoqué des émeutes à Jérusalem après les prières du vendredi, chauffés à blanc par les imams. Les émeutiers souillaient le lieu le plus sacré du peuple juif avec des drapeaux du Hamas et des Frères Musulmans. Des pierres, des bouteilles incendiaires et des objets de toutes sortes ont été lancées sur les policiers qui ont réagi avec des moyens de dispersions de manifestations. Au moins dix-sept policiers ont été blessés. Les émeutes se sont poursuivies à certains endroits durant la journée de samedi. Le commandant de la police de Jérusalem, général Doron Tourdjeman a averti que « la police ne permettra pas les troubles à l’ordre public, la violence et les tentatives de porter atteinte à des policiers ». Le commandant en chef de la police, général Yaakov Shabbtaï a tenu le même propos et le ministre de la Sécurité intérieure Amir Ohana a tenté de ménager la chèvre et le chou en appelant à permettre à tout musulman qui le désire de pouvoir prier à la mosquée Al-Aqsa lors de la fête de l’Al-Qadr mais a demandé à ce que tout se déroule dans le calme et sans violences.
En même temps que les provocations à Jérusalem, le terrorisme incendiaire s’est poursuivi durant la journée de samedi. C’est maintenant le troisième jour consécutif de reprise de ce genre de terrorisme, sans que Tsahal ne réagisse afin « de ne pas embraser la situation » mais au prix d’un embrasement de terrains agricoles israéliens…
Le chef d’état-major de Tsahal Aviv Kochavi a convoqué une réunion d’urgence avec des hauts gradés à cause de la situation actuelle et en prévision de la semaine qui vient avec les fêtes du fin de Ramadan qui sont prétextes à des regains de violences. Il a été décidé de renforcer les effectifs sur le terrain à Jérusalem, en Judée-Samarie et dans le sud du pays.
Photo Jamal Awad / Flash 90