Après plusieurs lettres publiées ces derniers jours et envoyées aux responsables des services de sécurité du pays, dans lesquels des réservistes d’unités spéciales, des pilotes, des réservistes de l’unité 8200 ou encore des médecins militaires ont menacé de ne pas se présenter en milouïm, Tsahal a décrit sa ligne de conduite.
Le commandement de l’armée israélienne a décidé de faire la différence entre ”les menaces de refus” et le ”refus” de servir. En d’autres termes, aucune sanction ne sera prise contre les auteurs de ces lettres à moins qu’ils ne mettent leurs menaces à exécution.
Depuis le début de la protestation contre la réforme judiciaire et la multiplication des menaces de la part de réservistes de Tsahal, il a beaucoup été reproché à l’Etat-major de l’armée et au ministre de la Défense de ne pas réagir. Désormais, une position précise a été énoncée.
Si un réserviste ne se présentait pas à une convocation pour des motifs politiques, Tsahal assure que son cas sera traité. Par ailleurs, l’Etat-major de l’armée indique qu’il ne tolèrera aucune incitation à la désertion à l’attention des soldats effectuant leur service régulier.
Pour l’heure, l’armée s’inquiète de ce qui pourrait se passer ce jeudi lors de la cérémonie de fin de cours d’officier. En effet, les mouvements de protestation contre le gouvernement ont promis d’y mener des actions. Tsahal appelle à laisser ces problématiques en dehors des bases militaires.
A l armée il est interdit de faire de la politique c est la première devise comment peux t on laisser ces propagandistes continuer à diffuser leur idéologie ?? Pourquoi le chef d état major n a pas réagi dès le début c est à dire il y a environ un an idem pour les directeurs d institutions en Israël campus institutions de recherche qui mêlent la politique a dans leurs bureaux et chez leurs étudiants ou personnels c est anti démocratique que ce pouvoir de nuisance
Rajzman, évidemment que cela est interdit, mais à cause de la CS goychiste, un Chef de Police goychiste et un Chef d’Etat Major nommé par le goychiste, putchiste et dictateur Lapid, à quoi veux-tu t’attendre ?