Au lemdemain de la dissolution de la Knesset, Ayelet Shaked a annoncé lors d’une rencontre avec des femmes sionistes-religieuses qu’elle « revenait en politique ». Après l’échec de la Nouvelle Droite aux élections, elle avait annoncé faire un « break » dans sa vie politique mais les derniers développements on changé la donne. De toute manière, elle est toujours en poste au ministère de la Justice, et elle le restera désormais au moins jusqu’à la formation d’un prochain gouvernement dans environ six à sept mois. Mercredi, Ayelet Shaked a rencontré Naftali Benett afin de discuter avec lui de la suite de leur parcours. Rien n’a filtré de leurs entretiens mais rien non plus n’indique qu’ils poursuivront ensemble leur chemin.
Au Likoud, certains ne cachent pas leur souhait de voir arriver Ayelet Shaked qui constitue un atout précieux sur le plan électoral. Mercredi soir, le Premier ministre Binyamin Netanyahou a fait comprendre qu’Avigdor Lieberman ne sera plus un partenaire lors de la prochaine législature, et qu’il faudra donc pour cela que le Likoud augmente son nombre de sièges de manière notable. Ayelet Shaked peut apporter ce supplément. Jeudi matin, le ministre Israël Katz a officiellement appelé le Likoud a intégrer la ministre de la Justice.
Moshé Feiglin prêt à faire alliance avec Naftali Benett

Dès l’annonce de la dissolution de la Knesset, le fondateur du parti Zehout a fait savoir qu’il se représentera lors des prochaines élections. Dans une interview, il a confié quelle est la principale leçon qu’il a tirée de son échec et quelle sera sa nouvelle stratégie. Et alors qu’il n’avait pas de mots assez durs pour Naftali Benett durant la dernière campagne électorale, Moshé Feiglin n’a pas exclu une démarche commune avec lui: « Je ne veux pas parler de ce qui se passe dans les coulisses, mais c’est une option à laquelle je suis ouvert, et de manière générale nous sommes en faveur d’alliances », a dit le président de Zehout.
Concernant la principale leçon qu’il tire de son échec, il a confié qu’il a eu tort de mettre en sourdine durant la campagne le fait qu’il est un homme de droite.
Photo Dudi Vaknin
Bonne décision de Feiglin de chercher une alliance avec un parti de droite , réelle. Mais deux fortes personnalités comme lui ou Benneth ,aux idéaux très proches ,pourront-elles vivre et agir ensembles sans se déchirer? Le couple politique de Bennet-Shaked était plus équilibré et apparement sans grandes tempêtes depuis très longtemps. Peut-être parce que l’homme politique peut travailler plus facilement avec la femme politique . Les même idéaux ne suffisent pas pour marcher de concert.Il faut ,en plus, beaucoup de « manières » de vivre.Je regrette,ainsi, la perte actuelles des femmes candidates chez les religieux nationalistes et leur absence totale dans les partis haredim. Des femmes pourraient apporter beaucoup de qualités qui manquent á leurs dirigeants masculins.Bonne chance à Zehout et à Moshe Feiglin .
Des religieux orthodoxes qui s’opposent à la conversion de millions de marranes ou de Chouetas, soit en Amérique latine, soit en Espagne ou au Portugal, ça confère peu à peu à la disparition de notre peuple. Certes, ils font des gosses, mais d’ici peu il n’y aura que des ultras religieux dont la plupart ne font pas de service armée. La prière c’est formidable, mais défendre le pays c’est merveilleux. Hervé
Faiglin n’apporte rien à la droite, par contre Bennet oui,, s’allier avec lui pour Bennet sera sa 2efaute en quelques mois et la fin de sa carrière politique. Bennet doit retourner à l’Uni, des Droites s’il veut sauver sa tête.