Une enquête menée par l’Université de Tel Aviv et l’Université Ben Gourion du Neguev, met en lumière le formidable élan de solidarité qui traverse le pays depuis le début de la guerre Epées de fer.
Jamais, même en période de crises, la quantité de dons et de personnes qui se consacrent à du bénévolat n’a été aussi importante.
En moyenne, pendant la troisième semaine de guerre, chaque Israélien a donné 458 shekels à différentes causes. Par ailleurs, plus des deux tiers (62%) des Israéliens ont soit donné de l’argent soit participé à diverses initiatives bénévoles, comprenant aussi des dons de lait maternel et de sang ou l’aide aux agriculteurs dans le sud du pays, par exemple.
Cette solidarité exceptionnelle s’est également manifestée par le fait que de nombreux Israéliens ont fait des dons à plus d’un organisme : 62 % des donateurs ont fourni du matériel, de la nourriture ou d’autres produits de première nécessité à Tsahal et aux forces de sécurité. 53 % ont donné à des familles dont les proches ont été tués ou kidnappés ou sont toujours portés disparus, ou aux personnes blessées ou autrement touchées par la guerre. 21% ont donné aux hôpitaux et aux forces de secours. 12% ont donné pour soutenir la réhabilitation des personnes évacuées. 9% ont fait un don à d’autres causes.
62 % de 75 % des juifs israéliens, cela fait 82 %, vous voulez dire. Parce que cela m’étonnerait fort que les 2 % d’arabes chrétiens israéliens et les 4 % des sans religion aient donné quelque chose. Et les 19 % de musulmans arabes et de musulmans druzes ont dû donner à Gaza.
Au-delà d’Israël, les Juifs du monde entier sont solidaires entre eux; les Arabes, eux, n’arrêtent pas de mendier : c’est le principe même du parasite de vivre aux crochets des autres.
Je ne peux pas laisser dire cela. Les Druzes se sont mobilises pour accueillir et aider des refugies et des soldats. Ils se battent actuellement pour Israel y compris des Arabes dont les Bedouins dont certains ont porte assistance des le 7 octobre a des civils en danger