Si c’est une personne qui est tombée, alors c’est aussi une personne qui se relèvera.
Avant que nous commencions à parler de croissance, parlons de fatigue. Car de nos jours, c’est à peine si nous mourrons d’envie de faire des choses. Nous mourrons de fatigue. Les femmes, qu’elles soient mariées ou célibataires, sont devenues multitâches. « Elle se lève alors qu’il fait encore nuit pour nourrir sa maison », entonnons-nous dans le célèbre chant « Eshet ‘Hayil ». C’est un peu gênant de le dire, mais ce chant nous est chanté le soir de Chabat dans ces moments où nous sommes les plus… crevées.
La délivrance, c’est de ne pas en arriver là. Femme, il t’est interdit d’en arriver à cet état de fatigue extrême. Car arrivée en ce point, les pensées deviennent noires et ton regard sur les choses aussi. Lorsque la fatigue tape à la porte, si nous ne nous en référons pas au Créateur, nous ne nous en sortirons pas. Il est nécessaire de s’en référer à Achem : « Je peux te demander de porter mon sac ? Il est si lourd, et je suis si fatiguée… »
Savez-vous quel est le contraire de la fatigue ? Le Sfat Emet nous le révèle : c’est le renouvellement. Car une personne qui dort dans ses idées noires, une personne qui dort dans son obscurité, n’est plus à même à distinguer les opportunités de se renouveler. Elle n’est plus apte à saisir les changements que la vie lui apporte.
Lorsqu’une femme dit qu’elle est fatiguée, on lui répond généralement ceci : « Alors arrête. Par exemple, arrête d’avoir des enfants. » En d’autres termes, abandonne l’action. Passe-toi de faire des choses.
Ce n’est pas vrai. Fais – avec renouvellement.
Dans le judaïsme, le principal, c’est le renouvellement. Ce n’est pas anodin si nous sommes un peuple qui vit au rythme effréné des informations et des « flash info ». Pourquoi ? Car le fait même que les informations existent est la meilleure des nouvelles. Pourquoi disons-nous chaque jour « en souvenir de la sortie d’Egypte » et non « en souvenir de la création du monde » ? Le Sfat Emet écrit qu’en sortant d’Egypte, les Bnei Israël devinrent une nouvelle créature, et que leurs âmes se renouvelèrent. C’est la raison pour laquelle il est écrit : « Je suis Achem qui t’a fait sortir d’Egypte » et non « qui t’a créé ».Tout ce processus de passage de l’esclavage à la liberté est un processus de renouvellement et non de création.
Te créer, c’est facile. Te façonner, c’est facile. Mais changer, se renouveler, c’est encore plus fort. C’est encore plus lourd de sens.
Rabbi Zoucha demanda à son frère Rabbi Elimele’h : « Si nos âmes proviennent toutes du premier homme, pourquoi aucun de nous n’a réussi à l’empêcher de fauter ? » Son frère lui répondit : « Car si le premier homme n’avait pas fauté, il aurait pu penser qu’il est assimilable à un D. A partir du moment où l’homme a fauté, il comprit qu’il n’était qu’un être humain, et cette compréhension justifie sa faute et la venue de la mort dans le monde. Désormais, l’homme ne sera plus une créature, mais un renouvellement perpétuel ! C’est un être qui est tombé, et donc un être qui se relèvera… »
D’après les enseignements de la Rabbanite Yemima Mizrahi, traduits par Nina Sahel.
En partenariat avec Hidabroot.fr
Bien sans compter que dans le Maass Berechit , l ‘homme n ‘ pas été puni pour avoir consommé du fruit du Ets ha daat , Le S B S I lui a dit textuellement tu a écouté les paroles de LA femme .
Elle a parlé et menti a son mari
Le chabat est incontournable , Il est le couronnement le la avoda ha chavoua sans partage . La Havdallah est pour après la sortie de Chabbat
Bien sans compter que dans le Maass Berechit , l ‘homme n ‘ pas été puni pour avoir consommé du fruit du Ets ha daat , Le S B S I lui a dit textuellement tu a écouté les paroles de LA femme .
Elle a parlé et menti a son mari
Le chabat est incontournable , Il est le couronnement le la avoda ha chavoua sans partage . La Havdallah est pour après la sortie de Chabbat
Je vous retrouve encore, en bon “Ayatollah”, je ne suis pas sûr que bien des “religieux” voire “orthodoxes”soient aussi raides que vous le semblez, moins misogynes, sûrement, d’ailleurs certains rabbins sont …des femmes!